| ÉBAHIR v. tr. XIIe siècle. Dérivé de baer (XIIe siècle), ancienne forme de bayer. Jeter dans un grand étonnement. Il nous a ébahis par son assurance et sa mauvaise foi. J'en suis resté tout ébahi. Il avait l'air ébahi. Pron. Être saisi d'étonnement. Il n'y a pas là de quoi s'ébahir. S'ébahir d'une nouvelle. S'ébahir devant un tour de prestidigitation. |