| VOITURE, subst. fém. A. − 1. a) Vx ou littér. Moyen, mode de transport. Le bateau est une voiture fort commode. Voiture par eau. Voiture par terre (Ac. 1878). − P. métaph. Le mariage est une voiture (...) une charrette, si vous voulez!... c'est à vous de réfléchir avant de vous y atteler (...) mais, quand on y est (...) on y est! (Labiche, Si jamais je te pince!1856, i, 6, p. 257). − P. plaisant. [Il est riche,] quoiqu'il aille à Paris [d'Asnières] à pied tous les jours, et qu'il revienne de même, avec son gros bâton pour toute voiture (Sue, Myst. Paris, t. 6, 1843, p. 35). − Arg. Voiture à talon, voiture de M. Soulier. Les jambes. (Ds Delvau 1883, France 1907). b) DR. ADMIN. Voiture publique et p. ell., voiture. ,,Voiture spécialement destinée au transport des voyageurs et dont il est libre à chacun de se servir, en payant une somme fixée par tête à raison des personnes et au poids, à raison des marchandises`` (Blanche 1857). Synon. coche2, diligence2, messagerie, poste1.Voiture d'eau; voiture de roulage, d'occasion; voiture publique attelée; entrepreneur de voitures publiques. On entend par voitures publiques tous les véhicules servant publiquement au transport des personnes (voitures de terre, bateaux, wagons sur chemins de fer) (Baradat, Organ. préfect., 1907, p. 305).À l'arrivée des trains de Paddington à Windsor, des landaus de leurs majestés viennent prendre à la gare ceux des invités qui ne louent pas des voitures publiques (Blanche, Modèles, 1928, p. 85). ♦ Voiture de poste. Véhicule attelé effectuant un service régulier pour les colis, les lettres, d'un lieu à un autre. Plus de cent personnes les regardaient sur les portes et le long des fenêtres, car les voitures de poste ne passent pas d'habitude par la rue des Acacias, elles suivent la grande route (Erckm.-Chatr., Ami Fritz, 1864, p. 175). 2. Vieilli. Transport, acheminement. Donc, nous payerons plus cher notre huile si nous persistons à la fabriquer nous-mêmes, plus cher nos denrées coloniales, si nous voulons en faire la voiture (Proudhon, Syst. contrad. écon., t. 1, 1846, p. 178). − P. méton. Coût d'un transport. Le prix de revient de certains matériaux est souvent doublé par la voiture, qui est fort chère (Jossier1881). 3. P. méton. a) Contenu d'un véhicule; quantité de produits, de matériaux que représente ce contenu. Synon. voiturée.Voiture de blé. On emploie, pour féconder un jour de terres labourables, quatre voitures de fumier, ou quatre voitures de terreau pour une fauchée de pré. La voiture de fumier vaut 5 ou 6 fr: celle de terreau 4 ou 5 fr (Monopole et impôt sel, 1833, p. 36). b) Ensemble des personnes qui se trouvent dans un véhicule ; quantité de personnes que peut transporter un véhicule. Je lui commandai avec tant d'autorité d'ouvrir la portière, qu'il s'approcha pour me dire qu'il attendait deux voyageurs pour compléter sa voiture, mais qu'il partirait à l'instant même, si je voulais la payer tout entière (Jouy, Hermite, t. 4, 1813, p. 9).[Albert] était en coquetterie avec une pleine voiture de paysannes romaines (Dumas père, Monte-Cristo, t. 1, 1846, p. 512). 4. DR. COMM. Lettre de voiture. Document qui décrit le détail du chargement d'un véhicule dont le transporteur, le voiturier doit être muni pour le transport des marchandises, en particulier en ce qui concerne un déménagement. Que de lettres de voitures surchargées, raturées, falsifiées! Que de timbres fabriqués! Que d'avaries dissimulées ou frauduleusement transigées! (Proudhon, Syst. contrad. écon., t. 1, 1846, p. 340).On a prévu, à l'article 49 du décret, pour simplifier le contrôle routier, et aussi pour des raisons fiscales, (...) l'obligation de la lettre de voiture ou du carnet de bord (Pineau, S.N.C.F. et transp. fr., 1950, p. 56). B. − 1. Vieilli a) Plate-forme, caisse ouverte ou fermée montée sur roues, tirée par la force animale, qui sert à transporter des personnes, des objets. Synon. équipage.Atteler, dételer une voiture; voiture à deux, à quatre chevaux, à deux, à quatre roues; voiture fermée, découverte, à claire-voie; embarras de voitures; voiture attelée, hippomobile. Il était aisé de s'apercevoir, au trot de quelques-uns, que ces modestes animaux venaient de quitter le timon d'une voiture ou le brancard d'une demi-fortune, pour venir figurer à la course en qualité de chevaux de main (Jouy, Hermite, t. 4, 1813, p. 207).Le système pneumatique de Paris est né en 1866. À cette époque, le transport des dépêches se faisait en voiture à cheval et les rues de la capitale étaient déjà passablement encombrées (Admin. P. et T., 1964, p. 29). − Loc. verb. Aller en voiture, avoir voiture. Avoir une voiture et un attelage personnel à sa disposition. Ces descriptions [des habitations espagnoles] (...), s'appliquent à des maisons de gens ayant voiture et huit ou dix domestiques (Gautier, Tra los montes, 1843, p. 106).Ma fille nous donne cent francs par mois, et elle va en voiture, et elle mange dans de l'argent, elle est miyonaire [millionnaire] ! (Balzac, Cous. Bette,1846, p. 345). b) P. anal. − Voiture à bras. Charrette de petites dimensions poussée ou tirée par une personne. Il faut être né comme moi, rue de l'Orillon, dans un atelier de menuisier, et (...) avoir roulé le faubourg avec une voiture à bras pleine de copeaux (A. Daudet, Contes lundi, 1873, p. 229). − Petite voiture. Étalage mobile de marchand des quatre saisons. Synon. voiturette.Une fraîcheur d'égout montait de la chaussée, avec l'odeur des légumes et le cri des marchands à la petite voiture qui rampent sans cesse sur le pavé de mon quartier (Duhamel, Confess. min., 1920, p. 51). − Chariot, petit char à banc tiré par un âne, un poney ou un petit animal, servant à promener les enfants. Voiture à chèvre, à chien. Le roi de Rome allait à la promenade dans une belle voiture attelée de grands et beaux moutons blancs, dont les laines soyeuses pendaient jusqu'à terre (D'Allemagne, Hist. jouets, 1902, p. 78).Nous partions, huit ou dix grands élèves du cours, accompagnés de M. Seurel, les uns à pied, les autres grimpés dans la voiture à âne (Alain-Fournier, Meaulnes, 1913, p. 215). 2. Mod. Véhicule automobile servant à transporter un nombre réduit de personnes ou des objets de faible encombrement. Synon. automobile, auto (v. automobile II); fam. et arg. bagnole, chignol(l)e, clou, tacot.Trois hourras firent trembler la vieille grange; les moteurs des voitures ronronnèrent à la porte (Maurois, Sil. Bramble, 1918, p. 10).Dans un même temps, une seconde par exemple, un piéton se déplace de deux mètres quand la voiture de course en parcourt cent vingt (Jeux et sports, 1967, p. 1643). SYNT. Voiture à deux, à quatre ou cinq portes; voiture à deux, à quatre roues motrices; voiture de tourisme, de livraison, utilitaire, populaire, familiale, économique; voiture décapotable, à toit ouvrant; voiture puissante, de grosse cylindrée; aile, carrosserie, châssis, bielle, embrayage, moteur, volant de voiture; voiture électrique, à hydrogène, à gazogène, à essence, à vapeur; voiture diesel; voiture ancienne, française, étrangère, de collection; embouteillage, accrochage, carambolage de voitures; voiture blindée, climatisée, tout terrain; apprendre à conduire une voiture; épave de voiture; voiture de série. ♦ Voiture pie. V. pie1.Voiture de sport*. Voiture de formule* 1, 2 ou 3. − En partic. ♦ Véhicule mis à la disposition d'une personne par une entreprise publique ou privée, dans le cadre de son activité professionnelle. Voiture d'entreprise, de fonction, de société; voiture professionnelle. La voiture de service. Le salarié ne peut utiliser un véhicule financé par son employeur que pendant son temps de travail (Challenges écon., avr. 1993, p. 125, col. 1). ♦ [P. oppos. à voiture publique (vieilli)ou à voiture de fonction, de service (mod.)] Véhicule dont le propriétaire est un particulier et qui l'utilise pour son usage personnel. Voiture particulière. Il est ridicule, par exemple, que la direction du budget refuse aux géographes l'autorisation d'utiliser leur voiture personnelle pour leurs déplacements sur le terrain sous prétexte que les membres de l'enseignement supérieur sont sédentaires (Colloque géogr. appl., 1962, p. 23). ♦ Voiture de place. Voiture louée à la course ou à la journée qui stationne sur les places publiques ou en certains lieux réservés. Synon. vieilli fiacre, sapin (fam.), taxi (mod.).Elle (...) sauta lestement dans le cabriolet qui l'avait amenée. C'était une voiture de place peinte en jaune, très haute sur roues (A. France, Dieux ont soif, 1912, p. 54).Lorsque nous fûmes dehors, j'appelai un taxi, et mon hôte me dit (...): − Mon ami habite rue Rossini. J'y vais toujours à pied, mais puisque vous avez eu l'extrême bonté de héler une voiture de place, nous y serons plus tôt que de coutume (Fargue, Piéton Paris, 1939, p. 251). ♦ Voiture de (grande) remise. Voiture de luxe mise à la disposition de la clientèle par son propriétaire ou un préposé de celui-ci. Là, cet homme (...) traversa le Palais-Royal, et alla prendre une magnifique voiture de remise, rue Joquelet (Balzac, Cous. bette, 1846, p. 319).Les voitures de grande remise, qu'il ne faut pas confondre avec les taxis, (...) doivent leur nom au fait qu'elles ne stationnent pas sur la voie publique (Jocard, Tour. et action État, 1966, p. 129). Rem. À l'apparition des véhicules automobiles on utilisait voiture automobile ou automobile et auto pour les distinguer des véhicules attelés. Depuis la disparition de ces derniers, voiture a pris le pas sur les autres dénom. pour désigner une automobile, bien que son empl. demeure possible pour les deux modes de traction. Seuls un cont. élargi ou la date de celui-ci permettent d'en déterminer le type, ce qui reste parfois aléatoire pour les textes de la fin du xixeou du déb. du xxes.: Puis-je vous demander un grand service?(...) Vous allez prendre une voiture, une auto si vous pouvez, pour aller plus vite. Vous trouverez certainement encore Morel dans sa chambre, où il est allé se changer (Proust, Sodome, 1922, p. 1064). 3. a) Véhicule roulant destiné au transport de personnes ou d'objets quel que soit son mode de traction. Synon. berline, break1, cabriolet, coupé, guimbarde (fam.).Au milieu de ces souffrances, la dernière chose qui meurt chez les femmes, la coquetterie, survivait encore; deux ou trois fois elle fit arrêter la voiture devant les magasins de nouveautés, pour regarder les étalages (Murger, Scènes vie boh., 1851, p. 298). SYNT. Monter en voiture; sortir, descendre de voiture; s'engouffrer, se jeter dans une voiture; arrêter, faire démarrer, garer, ranger une voiture; voiture qui s'ébranle, qui roule, qui démarre, qui s'embourbe, qui s'enlise; cahots d'une voiture; profiter de la voiture de qqn; faire une promenade, une course, un trajet, un voyage en voiture; charger, décharger une voiture; prendre une, sa voiture; voiture neuve, d'occasion, de location, de louage; loueur, fabricant de voiture; voiture légère, rapide; grande, petite, luxueuse, vieille voiture; portière, marchepied, vitre, capote, frein, coussin de voiture; voiture bien, mal suspendue, entretenue; voiture de maître; voiture privée; file, encombrement de voitures. − Loc. et expr. ♦ Rouler voiture. Avoir les moyens, le privilège de posséder une voiture. V. rouler I A 1 b β ex. de Nizan. ♦ Au fig. Se garer des voitures. V. garer A 1 a.Se ranger des voitures. Mener une vie plus paisible et plus régulière que précédemment, se mettre à l'abri des risques. Tu vois si je m'amollissais; j'en venais moi aussi au prêchi-prêcha, puis je me suis rangé des voitures pour quelque temps (A. Sergent, Je suivis ce mauvais garçon, 1946ds Rey-Chantr. Expr. 1979).À pied, à cheval* et en voiture. b) Véhicule ayant une utilisation précise, appartenant à un service, une administration déterminée. Voiture de deuil (synon. corbillard), d'éboueur, de saltimbanque (synon. roulotte), d'arrosage (synon. arroseuse), militaire. Depuis huit jours on voyait venir par les routes, au pas lent de rosses grises ou rougeâtres, les voitures foraines où gîtent les familles ambulantes des coureurs de foire (Maupass., Contes et nouv., t. 1, Père Amable, 1886, p. 229). ♦ Voiture cellulaire*. Synon. mod. panier* à salade.Voiture postale*. Voiture d'ambulance*. Voiture de déménagement*. Voiture de pompier. V. pompier1.Voiture(-)radio*. − En partic. Véhicule à usage militaire. Voiture militaire; voiture légère de reconnaissance (abrév. V.L.R.); voiture de liaison (abrév. V.L.). Y a des malins gars qu'ont l'filon, dit Lamuse, et qui trouv'nt l'joint pour coller quéqu'chose dans la voiture de compagnie ou la voiture médicale (Barbusse, Feu, 1916, p. 197). ♦ Voiture sanitaire*. Voiture régimentaire*. C. − Véhicule de grande capacité roulant sur rails et destiné généralement au transport des voyageurs ou à certains services. Synon. wagon.Voiture à compartiment, à couloir central; voiture de banlieue, de chemin de fer, de grande ligne, de métro, de tramway; voiture sur pneumatiques; voiture de tête, de queue, de 1re, de 2eclasse. Les voitures se composent d'un châssis sur lequel est posée une caisse destinée à recevoir les voyageurs (Bricka, Cours ch. de fer, t. 2, 1894, p. 25).Il ne doit pas être impossible de concevoir une voiture avec fauteuils inclinables de part et d'autre d'un couloir central pourvu, en trajet de nuit, de cloisons légères (tissu) amovibles, donnant une sensation d'indépendance. Dès lors, ces voitures auraient la même capacité que les voitures ordinaires et pourraient servir indifféremment de nuit ou de jour (Defert, Pol. tour. Fr., 1960, p. 72). ♦ Voiture automotrice. Véhicule roulant sur rails et équipé d'une cabine de pilotage incorporée. On a installé des disjoncteurs automatiques à la station génératrice au départ des câbles d'alimentation et sur chaque machine ainsi que sur chaque voiture automotrice (Soulier, Gdes appl. électr., 1916, p. 106). − Loc., vieilli. En voiture! [Formule par laquelle le chef de gare, l'employé de quai, signale le départ d'un train] Les voyageurs pour Paris, en voiture! − cria l'employé en ouvrant la porte vitrée. Le frère et la sœur s'embrassèrent encore une fois, puis les portières se fermèrent (Theuriet, Mariage Gérard, 1875, p. 170).Déjà on fermait les portières; on en entendait le claquement brutal... et puis ce furent les brèves invitations des employés... « En voiture! messieurs!... en voiture!... » (G. Leroux, Parfum, 1908, p. 10). ♦ P. ext., fam. Partons, allons-y. Allez! radinez-vous, les glouglous! C'est la foire qui continue! Pour la balade, en voiture! (Céline, Mort à crédit, 1936, p. 504). Rem. Dans ce sens, le lang. cour. utilise souvent le terme wagon. Le terme voiture est un terme spécifique de la SNCF qui désigne des véhicules différents des wagons et des fourgons: Les voitures, destinées aux voyageurs, doivent répondre à une condition spéciale: le confort. Les wagons, destinés aux marchandises, doivent permettre le transport de ces dernières dans des conditions telles qu'elles ne subissent aucune détérioration en cours de route. Les fourgons sont intermédiaires entre les voitures et les wagons (Bailleul, Matér. roulant ch. de fer, 1951, p. 93). D. − Spécialement 1. Petite voiture. Dispositif formé d'un fauteuil monté sur roues permettant le déplacement des personnes à mobilité réduite, qui est poussé par quelqu'un, actionné par la personne elle-même ou par un système mécanique. Synon. fauteuil* roulant, voiturette.Sur le boulevard, c'était le printemps, des invalides assis dans leurs petites voitures lisaient leurs journaux au soleil (Nizan, Conspir., 1938, p. 27). 2. Voiture d'enfant. Dispositif formé d'une caisse montée sur roues, généralement muni d'une capote dans lequel on promène les bébés. Synon. landau, poussette, voiturette.Ils suivaient côte à côte les allées désertes du Bois (...) les nourrices poussaient des voitures d'enfants (A. France, Hist. comique, 1903, p. 267).Petite voiture. Même sens. Alors, une véritable folie m'a pris: la folie des enfants. Depuis ce moment-là, chaque fois que j'ai vu, dans la rue, un grand couillon avec un panama qui pousse une petite voiture, tu ne peux pas t'imaginer comme j'ai été jaloux (Pagnol, Fanny, 1932, ii, 6, p. 136). 3. Table roulante, chariot qui sert dans l'hôtellerie à transporter les plats. (Dict. xxes.). Prononc. et Orth.: [vwaty:ʀ]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. A. 1. Fin xiies. voiture « charge que l'on transporte » ici, sur un âne (Evrat, Bible, B. N. 12457, fo104b ds Gdf. Compl.); 2. 1373 « marchandises transportées dans un véhicule » (Inv. mobiliers et extraits des comptes des ducs de Bourgogne, éd. B. Prost, t. 1, 1832). B. 1remoit. xiiies. veiture « transport » (Mir. de Sardenay, 150, éd. G. Raynaud ds Romania t. 11, p. 533). C. 1. xiiies. veicture « moyen de transport » en gén. (Guill. de Tyr, XX, 5, P. Paris ds Gdf. Compl.); 2. 1283 voiture « caisse ou plate-forme montée sur roues, tirée ou poussée par un être animé, et servant au transport » (Philippe de Beaumanoir, Coutumes Beauvaisis, éd. A. Salmon, 1127, t. 2, p. 82); 3. a) 1771 voiture à feu désigne la voiture de Cugnot (Général de Gribeauval, lettre 2 juill. d'apr. Wexler, p. 97); 1824 voiture à vapeur (Moreau de Jonnès, Rev. encycl., t. 22, p. 726, ibid., p. 100); b) 1893 « véhicule mû par un moteur à pétrole » (Lettre de M. Mors à MM. Panhard et Levassor, 27 oct. d'apr. R. V. Ball ds Fr. mod. t. 43, p. 58); 4. 1829 désigne un wagon de chemin de fer (J. de Baader, Sur l'Avantage de substituer des chemins de fer à plusieurs canaux d'apr. H. J. Swann, French terminologies in the making, p. 15). Du lat. vectura « transport; prix du transport », dér. de vectus, part. passé de vehere « porter, transporter ». FEW t. 14, pp. 212b-213a et p. 214a. Fréq. abs. littér.: 9 705. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 12 563, b) 18 004; xxes.: a) 15 097, b) 11 827. Bbg. Ball (R.V.). Nouv. dat. pour le vocab. de l'automob. Fr. mod. 1975, t. 43, p. 58. − Chesneau (A.). La Not. de « sème dormant ». Semiotica. 1974, t. 11, pp. 335-345. − Goug. Mots. t. 1. 1962, pp. 203-204. − Quem. DDL t. 14, 16, 17, 18, 19, 25, 30, 31, 38. − Wexler 1955, pp. 120-122, passim. |