| USAGE, subst. masc. A. − 1. Pratique, manière d'agir ancienne et fréquente, ne comportant pas d'impératif moral, qui est habituellement et normalement observée par les membres d'une société déterminée, d'un groupe social donné. Synon. coutume, habitude, tradition, us.Usage confirmé, consacré, établi, respectable, solennel. Je remarque en passant que cet usage d'une place et d'un siège particuliers pour la maîtresse de la maison est déjà fort ancien; le bon ton, la politesse même lui font une loi de ne l'offrir à aucune autre femme, quels que soient son rang et sa qualité (Jouy, Hermite, t. 4, 1813, p. 315).Pendant six mois, il me fut interdit de parler au mess. Usage excellent: nous apprenions ainsi à connaître l'humilité de notre condition et le respect dû à nos anciens (Maurois, Sil. Bramble, 1918, p. 142). − DR. ,,Règle de droit établie par une pratique ancienne et constante`` (Cap. 1936). Les parties sont libres d'écarter d'un commun accord l'application des usages aussi bien de fait que de droit (Réau-Rond.1951). ♦ Usages commerciaux. Règles pratiquées ordinairement dans les négociations commerciales ou par support à ces négociations (d'apr. Barr. 1974). Usages locaux. Règles établies, dans certains lieux, pour l'exécution des conventions et qui, sans avoir été déterminées par la loi, sont adoptées par tout le monde (d'apr. Barr. 1974). 2. a) L'usage. L'ensemble des règles et des pratiques qui régissent les rapports sociaux et qui sont les plus couramment observées. Il aimait et respectait sa mère. Il l'aimait plus encore par devoir que par inclination et son respect tenait plus de l'usage que du sentiment (A. France, Révolte anges, 1914, p. 317). ♦ L'usage du monde. L'ensemble des pratiques sociales qui ont cours dans la bonne société. Toutes deux sont pétillantes d'esprit; mais l'esprit de madame de Vertpré est complété par l'usage du monde, qui manque à Pauline (Dumas père, Mari Veuve, 1832, 2, p. 246).Avoir l'usage du monde. Martial avait trop l'usage du monde, trop de finesse et de calcul pour s'exposer à rompre avec une femme si bien en cour (Balzac, Paix mén., 1830, p. 337). ♦ C'est l'usage. C'est ce qui est conforme aux pratiques sociales; c'est ce qu'il convient de dire, ou de faire. Théodore (...) portait un habit bleu, « comme si l'on ne pouvait pas trouver un habit noir, puisque c'est l'usage, que diable! » (Flaub., MmeBovary, t. 2, 1857, p. 196).L'excessive froideur que lui témoigna Jeanne (...) l'avertit qu'il avait commis une maladresse. Pour la réparer, il s'empressa, comme c'est l'usage, d'en commettre une seconde (Feuillet, Paris., 1881, pp. 99-100). ♦ D'usage. Conforme aux conventions, habituel, normal. Cérémonie, compliment, formalités, observations, plaisanteries d'usage. [Bénédict] ne lui adressait plus une seule de ces politesses d'usage qui rappellent à chaque instant les conventions (Sand, Valentine, 1832, p. 123).Il ne savait pas s'il devait dire Monsieur ou Docteur ou employer quelque autre formule d'usage et de respect (Arnoux, Rêv. policier amat., 1945, p. 112). b) Habitude, pratique établie, propre à un groupe, à un individu. Voués par choix à un régime austère, ils placèrent la gourmandise parmi les péchés capitaux (...) et attaquèrent surtout l'usage de manger sur des lits, usage qui leur parut le résultat d'une mollesse coupable (Brillat-Sav., Physiol. goût, 1825, p. 271).Selon l'usage de. Je dormais donc, selon mon usage, Sur un banc du jardin d'ombrages entouré (Dumas père, Hamlet, 1848, i, 2, p. 185).Criant fort, exprès, de leurs grasses voix paysannes en se donnant des claques sur l'épaule, selon l'usage des bouviers et des maquignons (Bernanos, Joie, 1929, p. 684). c) Pratique habituelle d'une activité; habitude de pratiquer une activité. L'usage exclusif d'écrire en latin sur les sciences, sur la philosophie, sur la jurisprudence (...) céda peu à peu la place à celui d'employer la langue usuelle de chaque pays (Condorcet, Esq. tabl. hist., 1794, p. 138).Le hasard (...) avait placé dans un emploi éminent un homme ayant l'usage d'écrire (Chateaubr., Congrès Vérone, t. 1, 1838, p. 360). 3. a) Les usages. Les habitudes, les comportements qu'il convient de respecter, qui ne doivent pas être transgressés. Se conformer aux usages; connaître, oublier les usages. Il avait une façon d'enlever son chapeau et de laisser retomber le bras, qui semblait dire: « Ce n'est pas particulièrement pour vous que je me découvre; c'est parce que je tiens aux usages de la politesse » (Martin du G., Thib., Cah. gr., 1922, p. 628).Obligé d'habiter cette ville (...) j'ai tout fait pour me conformer aux usages de la province (J. Bousquet, Trad. du sil., 1936, p. 148). b) Ensemble des bonnes manières qui caractérisent le savoir-vivre; ensemble des règles de civilité, de bienséance observées dans une société policée. Un grand écrivain sans usage s'entrave dans sa gloire comme dans un sabre (Mauriac, Journal 2, 1937, p. 183). − Avoir de l'usage. Être bien élevé. Tous les enfants élevés par leurs mères ont de l'usage et du savoir-vivre, deux acquisitions qui suppléent à l'esprit naturel (Balzac, Mém. jeunes mariées, 1842, p. 357). B. − 1. a) Fait de se servir de quelque chose, d'appliquer un procédé, une technique, de faire agir un objet, une matière selon leur nature, leur fonction propre afin d'obtenir un effet qui permette de satisfaire un besoin. Synon. emploi, utilisation.Par suite des usages auxquels on destine les métaux étamés, on exige du recouvrement des qualités de fini que l'on ne demande pas aux autres dépôts (Gasnier, Dépôts métall., 1927, p. 53): 1. Il ne devait pas être (...) facile de manger proprement quand on mangeait couché (...) on se servait des doigts, ou tout au plus du couteau, pour porter les morceaux à la bouche, car l'usage des fourchettes est moderne; on n'en a point trouvé dans les ruines d'Herculanum...
Brillat-Sav., Physiol. goût, 1825, p. 270. − [Le compl. du nom désigne qqc. de gén., d'abstr.] Il est sans doute un moyen d'échapper à la confusion. C'est − négligeant l'usage vulgaire de l'argument, et l'appel qu'il fait à toute sorte d'opinions vagues − d'en revenir à notre terreur (Paulhan, Fleurs Tarbes, 1941, p. 90).Le civilisé a (...) fait un usage croissant de l'abstraction (Huyghe, Dialog. avec visible, 1955, p. 29).Rare. [Le compl. du nom désigne qqn] [Philippe IV] lui accorda [à Velasquez] l'usage gratuit du médecin et du chirurgien de la cour (Gautier, Guide Louvre, 1872, p. 263). − DR. COMM. Droit d'usage. Droit réel permettant à une personne de se servir de la chose d'autrui et d'en percevoir la portion de fruits nécessaire à ses besoins et à ceux de sa famille (d'apr. Cap. 1936). Son droit d'usage ou d'habitation est réglé par les conditions les plus variables, qui créent les rapports de propriété les plus complexes et les plus instables (Jaurès, Ét. soc., 1901, p. 166). − En partic. Fait d'utiliser quelque chose pour sa consommation, pour ses besoins. Synon. consommation.Usage du beurre, du café, de la viande; usage de la cocaïne, de la drogue, du haschisch, de stupéfiants. Vous avez peut-être, madame, les artères du cerveau en tuyau de pipe. La Dame: Ciel! En tuyau de pipe! L'usage du tabac, docteur, y serait-il pour quelque chose? Je prise un peu (Romains, Knock, 1923, ii, 5, p. 13): 2. ... je crois m'apercevoir que le changement qui s'est fait en moi a été beaucoup avancé par l'usage journalier du thé et du vin. Je pense que (...) les buveurs d'eau conservent bien plus long-temps la délicatesse des sensations, et en quelque sorte, leur permière candeur. L'usage des stimulans vieillit nos organes.
Senancour, Obermann, t. 2, 1840, p. 92. b) Fait de se servir d'un organe, d'un membre; fait de mettre en action, en activité une fonction physique ou intellectuelle. Avoir, perdre, reprendre, retrouver l'usage de l'esprit, du libre arbitre, de la raison, de ses facultés, des jambes, des yeux. Une conscience bourrelée et l'effroi involontaire inspiré par un crime à ceux qui le commettent lui avaient ôté l'usage de la réflexion (Balzac, Gobseck, 1830, p. 435).Le climat de l'Angleterre (...) a renouvelé toutes mes blessures au point de me priver entièrement de l'usage d'un bras (Vigny,Serv. et grand. milit.,1835,p. 147). ♦ L'usage des sens. Le fait d'avoir des sensations olfactives, gustatives, visuelles. J'avais perdu en un moment l'usage de mes sens, toutes mes facultés, la possession de moi-même, la raison, à cause d'une femme (A. France, Vie fleur, 1922, p. 527).Je reprends difficilement l'usage de mes sens. Mes yeux me pèsent (...). Quelque part, très loin de moi, les choses de la vie s'agitent (J. Bousquet, Trad. du sil., 1936, p. 63). 2. Utilisation, emploi de quelque chose; possibilité de se servir de quelque chose. L'usage des baïonnettes est une atrocité (Robesp., Discours, Subsist., t. 9, 1792, p. 111).Il fourrait, après usage, sa serviette dans la ceinture de son pantalon (Barbusse, Feu, 1916, p. 146). − Faire usage de qqc. Utiliser, employer. Synon. se servir de.Faire usage de la force, de son (bon) droit, de son autorité; faire usage de fausses pièces, de faux noms; faire usage de faux. (Il s'assied et ouvre le livre) Il n'en avait pas fait grand usage, ce me semble (...) Les feuilles sont collées les unes aux autres (Dumas père, Margot, 1845, iii, 8etabl., 7, p. 116).Les gendarmes avaient dû faire usage de leurs armes (Camus, Peste, 1947, p. 1308). ♦ Faire bon, mauvais usage de qqc. Se servir de quelque chose de manière efficace, conforme ou non; utiliser, employer quelque chose à de bonnes fins ou à des fins condamnables. Les dangers de la systématisation ont été souvent mis en lumière (...) C'est un risque inhérent au système (...) que d'en faire mauvais usage, c'est-à-dire de ne pas tenir compte de tous les faits ou de les violenter pour faire entrer de force dans la construction ceux qui ne s'y plieraient pas volontiers (Lacroix, Marxisme, existent., personn., 1949, p. 57). − Mettre en usage. Se servir de quelque chose, mettre en action un procédé, quelque chose afin d'obtenir un résultat déterminé. Synon. employer, mettre en œuvre*, utiliser.Mettre tout en usage pour. La jeune coquette avait beau s'éventer gracieusement, sourire à des jeunes gens qui la saluaient et mettre en usage les ruses dont se sert une femme pour cacher son émotion, la douairière (...) savait lire dans son cœur et dans sa pensée (Balzac, Paix mén., 1830, p. 332). − À l'usage. Lors de l'utilisation, de l'emploi (de quelque chose). Je verrais vite, à l'usage, qu'elle s'essouffle, ainsi que mon corps, beaucoup plus vite (Gide, Journal, 1944, p. 260). − Faire beaucoup d'usage, faire de l'usage. Pouvoir être utilisé longtemps. Synon. durer.Chaussures, vêtements qui font de l'usage. P. plaisant. [À propos de qqn] L'insolent trépas de mon père avait désobligé les Schweitzer (...) Pour n'avoir su ni le prévoir ni le prévenir, ma mère fut réputée coupable: elle avait pris, à l'étourdie, un mari qui n'avait pas fait d'usage (Sartre, Mots, 1964, p. 9). − En usage, d'usage. Habituellement employé, couramment utilisé. Être encore en usage; sorti d'usage, de l'usage. Il existe encore un code de la morale et un répertoire des valeurs morales, restés en usage dans la bourgeoisie même (Aymé, Confort, 1949, p. 62). − Hors d'usage. [En parlant de qqc.] Qui ne peut plus être utilisé du fait de sa vétusté; qui ne peut plus produire l'effet attendu; qui ne fonctionne plus. Synon. désuet, obsolète, usé.Machine, pièce, ustensile hors d'usage. Des berlines hors d'usage traînaient (Zola, Germinal, 1885, p. 1239).P. plaisant. [À propos de qqn] Se sentir hors d'usage pour cette grande action qui va s'engager; d'intelligence non tant diminuée peut-être qu'alentie (Gide, Journal, 1943, p. 225). − À usage + adj., à usage de + subst.Destiné à être utilisé de façon précise, spécifique. Médicament à usage interne, externe; locaux à usage commercial, à usage d'habitation. L'agencement [de l'école maternelle] apparaît impropre à l'usage domestique, à la vie ordinaire: dans l'air, dans l'odeur, la couleur (...) il y a une incrustation de discipline (Frapié, Maternelle, 1904, p. 40).Lorsque j'aperçois sur un flacon pharmaceutique la mention « poison » ou « réservé à l'usage externe » (...) je songe (...) à notre première tentative d'assassinat (Bazin, Vipère, 1948, p. 185). − Avoir l'usage de qqn/qqc. Avoir la possibilité, le loisir d'utiliser quelque chose, de disposer de quelque chose; bénéficier des services de quelqu'un. Il m'est resté l'usage de la chambrière (Colette, Képi, 1943, p. 196).Ils avaient l'usage de la cuisine (...) et ils pouvaient s'y tenir toute la journée (Triolet, Prem. accroc, 1945, p. 210). − À, pour l'usage de. Destiné à être utilisé par une personne ou par une catégorie de personnes; qui est fait spécifiquement à l'intention d'une personne ou d'une catégorie de personnes. La soie était exclusivement réservée aux princes et aux personnages de la plus haute distinction; le camelot et la bure étaient à l'usage de la bourgeoisie et du peuple (Jouy, Hermite, t. 4, 1813, p. 257).Et comme Gabriel et Gridoux s'esclaffaient, elle ajouta pour leur usage et agrément: − C'en est encore une que j'ai trouvée dans les Mémoires du général Vermot (Queneau, Zazie, 1959, p. 231). C. − Dans le domaine du lang. 1. Fait de réaliser dans le discours, par la parole les éléments du langage. Faire usage d'une expression, d'une locution, d'un mot; expression, mot sorti(e) de l'usage, hors d'usage. Le mot aujourd'hui en usage est assez récent [charcutier], et récent aussi le verbe charcuter, qui n'a pu être fait qu'à un moment où ses éléments n'avaient plus de sens direct (Gourmont, Esthét. lang. fr., 1899, p. 145). 2. (Mise en œuvre de l')ensemble des règles qui caractérisent la langue effectivement pratiquée par la majorité des usagers d'une communauté linguistique, correspondant à un groupe social donné et à un moment déterminé. Usage écrit, oral; usage ancien, contemporain; usage courant, familier, littéraire, populaire, soutenu. ♦ Le bon usage. Ensemble des prescriptions constituant un modèle socioculturel. Homme d'honneur, parole d'honneur, affaire d'honneur, ce sont là des locutions à demi-mortes et dont on ne voit pas facilement par quoi la langue de l'usage actuel les remplace. J'entends: la langue de l'usage actuel vrai, car il faut avouer que ce que nous nommons entre nous le bon usage, n'est guère, hélas, qu'une conception de notre Académie (Valéry, Variété IV, 1938, p. 170). ♦ Orthographe d'usage. V. orthographe A 2. ♦ Vx. Le bel usage. Usage qui présente les qualités esthétiques à la mode. Souvent (...) je me suis servi du mot propre. Rien ne choque davantage le bel usage du dix-neuvième siècle (Stendhal, Prom. ds Rome, t. 1, 1829, p. 40). ♦ L'usage. L'utilisation effective du langage. L'usage est le maître de la langue. L'Académie a le Dictionnaire de l'usage qui comprend les termes et acceptions légitimes qui ont cours et vogue depuis deux siècles et de nos jours (Sainte-Beuve, Nouv. lundis, t. 5, 1863, p. 245). Prononc. et Orth.: [yza:ʒ]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. A. 1. a) 1155 « pratique généralement reçue, coutume » (Wace, Brut, éd. I. Arnold, 6385); b) 1261 usaiges de Borgoingne (Charte ds Hist. génér. et part. de Bourg., II, XXVI, éd. 1739 ds Gdf.); c) 1601 (Charron, Sagesse, p. 523: selon l'usage du monde); d) 1654 l'usage de la Cour (Guez de Balzac, Dissertations chrét. et mor., p. 302); 2. a) 1remoit. xiiies. « manière d'être (d'une personne) » (Audefroid le Bastard, éd. A. Cullmann, XIII, 9); b) 1360 (Arch. Nord, B 10285 fol. 4: Se femme et se fille avoient usage de prendre pain et farine au fil Hanciniaul). B. 1. a) Fin xiies. « emploi de quelque chose, fait de se servir de quelque chose » (Sermons St Bernard, éd. W. Foerster, 60, 38); b) 1547 « fonction particulière » (J. Martin, Arch. Vitruve, p. 6 vo: il faut accomoder le bastiment a l'usage); 2. 1370 avoir usage de raison (Oresme, Ethiques, éd. A. D. Menut, p. 183); 3. 1538 hors d'usage (Est., s.v. aboleo); 4. a) 1370 (Oresme, op. cit., p. 146: en latin « mos » c'est coutume et « moralis » c'est moral; mais en françois ces mos « meur » et « moral » ne sont pas en usage commun); b) 1549 (Du Bellay, Deffence et illustration, éd. H. Chamard, p. 35: commun usaige de parler; p. 143: le moderé usaige de telz vocables); c) 1579 (H. Estienne, Precellence, éd. E. Huguet, p. 190: appliquer une particule latine à divers usages; p. 168: [vocables] qui toutefois ne sont en usage qu'en certains endroits de la France [...] l'usage des dialectes); d) 1652 (Guez de Balzac, Socrate Chrestien, p. 247: le bon usage ne l'a point receû [le mot sectaire]). C. 1. a) Ca 1245 usages « impôts, redevances » (Philippe Mousket, Chron., éd. Reiffenberg, 2530); b) 1338 « usufruit » (26 av., Arch. Montjeu ds Gdf.); 2. 1316-28 droit d'usage (Ovide Moralisé, éd. C. de Boer, t. 2, p. 325). Dér. du lat. usus (v. us); suff. -age*; cf. lat. médiév. usagium (xiies. ds Latham) et usaticus (xes., ibid.). Fréq. abs. littér.: 7 079. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 16 559, b) 7 660; xxes.: a) 6 523, b) 7 947. Bbg. Klinkenberg (J.-M.). Les Niveaux de lang. et le filtre du « bon usage ». Fr. mod. 1982, t. 50, pp. 52-61. |