| TORIL, subst. masc. TAUROM. Enceinte attenante à l'arène, où l'on tient enfermés les taureaux avant la corrida. Le taureau au sortir du toril ténébreux ne peut, de porte ouverte en porte ouverte, aboutir qu'à l'arène où il se précipite (Mauriac, Journal 3, 1940, p. 274).Prononc. et Orth.: [tɔ
ʀil]. Att. ds Ac. 1935. Étymol. et Hist. 1765 (Encyclop. t. 15, p. 940b). Mot esp. att. dep. le xves. (d'apr. Al.), dér. de toro « taureau » (toréer*). Fréq. abs. littér.: 16. Bbg. Reinh. 1963, p. 99. − Schmidt 1914 § 165, 167. |