Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme
options d'affichagecatégorie :
* Dans l'article "SECOURISTE,, subst."
SECOURISTE, subst.
A. − Membre d'une organisation de secours aux blessés, aux victimes des accidents, des catastrophes. Association de secouristes; secouristes de la Croix-Rouge, de la Protection civile. Officieusement, toute notre visite est orchestrée par le gouvernement cambodgien: l'interprète-fonctionnaire qui nous accompagnera est un fonctionnaire du ministère des Affaires étrangères. Tous les « humanitaires », les « secouristes », qui forment cette espèce de légion vouée à la sauvegarde de l'humanité sont encasernés à l'hôtel Samaki (Le Nouvel Observateur, 12 sept. 1981, p. 91, col. 3).
B. − Personne capable d'appliquer les méthodes du secourisme. Secouriste diplômé. Le rôle du secouriste est fait de soins d'urgence, très simples, mais primordiaux dans l'attente de personnes plus compétentes (Lar. Méd.t. 31972).
− En appos. Il faut des accidents comme celui-là pour qu'un skieur se retrouve brusquement face à face avec les pisteurs-secouristes, ces hommes en jaune que l'on n'aperçoit d'ordinaire qu'à distance, un peu comme les chamois (Le Nouvel Observateur, 19 avr. 1976, p. 50, col. 1).
Prononc.: [səkuʀist]. Étymol. et Hist. 1. Hist. relig. 1750 « celui qui fait subir, en guise de secours, des tourments aux convulsionnaires, au cimetière de St-Médard » (Argenson, Journ., VI, p. 159 ds Brunot t. 6, p. 16); 2. 1832 subst. et adj. « (celui) qui porte secours » (Raymond). Dér. de secours*; suff. -iste*.
DÉR.
Secourisme, subst. masc.Assistance, consistant en soins d'urgence, portée aux victimes d'un accident, aux personnes dont la vie est en danger; ensemble des moyens pratiques et thérapeutiques qu'une telle assistance exige. Pratiquer le secourisme; prendre des cours, avoir des notions de secourisme; brevet de secourisme. Le secourisme (...) est destiné à développer chez les jeunes le sens de la solidarité et, également, le sang-froid (R. Vuillemin, Éduc. phys., 1941, p. 20).− [səkuʀism]. − 1resattest. a) 1759 hist. relig. « doctrine des secouristes » ([Abbé Regnaud], Le secourisme détruit dans ses fondements [titre]), b) 1941 « méthode de sauvetage et d'aide aux victimes d'un accident, aux blessés, etc. » (R. Vuillemin, loc. cit.); a) de secours (sens 6) ou de secouriste (sens 1), suff. -isme*, b) de secouriste (sens 2), suff. -isme*.