| RENFORT, subst. masc. A. − 1. Action, fait de renforcer ou d'être renforcé; accroissement de force qui en résulte. a) [Corresp. à renforcer I A 4 b] Synon. de renforcement (v. ce mot A 1 c mus.).On doit les préparer [les sons] par un renfort (Garcia, Art chant, 1840, p. 68). b) [Corresp. à renforcer I A 6 b α] La boîte fut ouverte et l'oiseau [un perdreau] apparut, ébouillanté, ratatiné entre de larges tranches de truffes à l'odeur obsédante. Il y avait d'autres gourmandises. Je supputais avidement le renfort que ces objets pourraient apporter à ma joie (Duhamel, Confess. min., 1920, p. 69). c)
α) [Corresp. à renforcer I B 1] Le renfort de la défense centrale d'une part, et d'autre part l'utilisation collective bien adaptée de la règle du hors-jeu imposent à l'action offensive d'être précise (J. Mercier, Footb., 1966, p. 75). − Dans le domaine milit.Les forces allemandes, sans plus de munitions, sans possibilité de renfort, (...) ont enfin accepté de se soumettre (Gide, Journal, 1943, p. 239). ♦ P. méton. Départ dans une unité de renfort. Ils quittaient la caserne à vingt cette fois: ce n'était plus le grand départ pour la guerre; c'était un petit renfort pour une compagnie du front (Benjamin, Gaspard, 1915, p. 130).Un jour, je voulais partir. Le lendemain, je ne le voulais plus. (...) À chaque « renfort », des discussions s'élevaient. Les premiers blessés, revenus au dépôt, si on les interrogeait, répondaient: « Courez-y voir » (Guéhenno, Journal homme 40 ans, 1934, p. 176).Monter au renfort. Monter en ligne dans une unité de renfort. L'homme regarda Olivier: − À la tienne! Il dit, puis il but. − Quelle compagnie? Il demanda après. − Je monte au renfort. − De quel côté? − À la vallée (Giono, Gd troupeau, 1931, p. 90).
β) En partic. Aide, appui, soutien. Le second gendarme qui gardait le bas de l'escalier (...) pouvait attendre lui-même du renfort de celui qui stationnait à la porte (Dumas père, Monte-Cristo, t. 2, 1846, p. 533): 1. C'était le moment où les escadres italiennes débarquaient en Terre Sainte le pèlerinage annuel. Il vint cette année-là 16 000 pèlerins, renfort considérable qui allait renverser la proportion des deux armées.
Grousset, Croisades, 1939, p. 95. − [Avec compl. prép. désignant l'instrument de l'action] ♦ [Le bénéficiaire de l'action est une pers. ou une collectivité] Solliciter le renfort de qqn. Huit jours auparavant, la Convention avait réintégré 78 députés arrêtés ou exclus après la révolution du 31 mai; le renfort de ces proscrits altérés de vengeance redoubla les attaques de la droite (Lefebvre, Révol. fr., 1963, p. 436).N'(agir) qu'avec/ne pas (agir) sans le renfort de qqn. Aujourd'hui, je ne puis plus faire un pas sans avoir un guide. Je ne puis m'approcher de l'autel, sans le secours d'un truchement, sans le renfort d'un prêtre (Huysmans, En route, t. 1, 1895, p. 69).Je ne la laissai plus sortir qu'avec le renfort d'Andrée, alors que pendant un temps le chauffeur m'avait suffi (Proust, Prisonn., 1922, p. 136). ♦ [Le bénéficiaire de l'action est une chose] Si votre nez guérit à mesure que Romagné se range, ma théorie recevra le renfort d'une nouvelle probabilité (About, Nez notaire, 1862, p. 149).Aux États-Unis, la formation d'une tradition mathématique (...) reçoit après la première guerre, et surtout après 1933, un renfort inattendu par l'émigration en masse des savants européens chassés par les régimes totalitaires (Hist. gén. sc., t. 3, vol. 2, 1964, p. 124). 2. Locutions a) De renfort
α) Loc. adj. Qui sert à, qui a pour but de renforcer (l'action ou l'effet de) quelque chose ou quelqu'un; qui est ajouté, qui s'ajoute à quelque chose ou quelqu'un pour en renforcer l'effet ou l'action; supplémentaire. Comme Gilliatt amarrait à l'étrave culminante un câble de renfort, la bise lui souffla en plein dans le visage (Hugo, Travaill. mer, 1866, p. 357).Grâce à ce compagnon de renfort, la maison se trouva en état quelques jours avant la Toussaint (Pourrat, Gaspard, 1922, p. 57). − Dans le domaine milit.Armée, bataillon, compagnie, peloton de renfort; hommes, tanks de renfort. Il se rapprocha du champ de bataille. Une brigade de renfort montait en ligne (Maurois, Sil. Bramble, 1918, p. 161).Jamais troupe de renfort arrivant doubler une garnison assiégée, ne fut reçue avec plus d'effusion que Fontranges par ma famille (Giraudoux, Bella, 1926, p. 176).V. aéroterrestre ex.
β) Loc. adv., vieilli. Synon. de en renfort.À l'entrée de la nuit, on vit une colonne sortir par une poterne et gagner la lunette à l'abri du chemin couvert. Ma compagnie fut commandée de renfort (Chateaubr., Mém., t. 1, 1848, p. 403). b) En renfort, loc. adv.
α) Pour renforcer, pour porter aide. Synon. à la rescousse, en appoint.Un bataillon nous est (...) venu en renfort dans la nuit du 8 au 9 (Bordeaux, Fort de Vaux, 1916, p. 82).Des instituteurs (...) viennent en renfort dans les disciplines où le recrutement des professeurs licenciés est insuffisant (Encyclop. éduc., 1960, p. 153). ♦ En renfort à. Le spectateur est un interprète dans la mesure où il apporte son émotion et son imagination « en renfort » au spectacle (Lifar, Traité chorégr., 1952, p. 151). ♦ En renfort de. L'attribution projetée d'une brigade alpine en renfort de la couverture du secteur de Haute-Meurthe ne fut pas réalisée (Joffre, Mém., t. 1, 1931, p. 183).Les agents n'appartenant pas (3 000 en tout) aux cadres des préfectures nationalisés par la loi du 2 novembe 1941, et (...) venant, pour une part modeste, en renfort des personnels de l'État au sein des préfectures, constituent le cadre départemental (Belorgey, Gouvern. et admin. Fr., 1967, p. 269).
β) Par surcroît, en appoint: 2. Chaque fois que revenait, dans nos entretiens, un mot ayant le moindre rapport avec l'affaire Dreyfus, il semblait qu'aussitôt un abîme s'ouvrît sous nos pas et divisât la famille: d'un côté, Cécile et moi, tous deux dreyfusards avec frénésie, de l'autre, Ferdinand, Joseph et, en renfort, à l'occasion, notre père.
Duhamel, Terre promise, 1934, p. 16. c) Pour renfort, loc. adv., vieilli. Synon. de en renfort.Cette même armée, après la paix avec l'Espagne, fut envoyée pour renfort à celle d'Italie (Las Cases, Mémor. Ste-Hélène, t. 1, 1823, p. 97). 3. Loc. verb., vieilli ♦ Faire renfort (à). S'associer (à quelqu'un), grossir les rangs (d'un groupe). Le résumé de toute cette dénonciation (...) c'est que Jansénius (...) n'était qu'un Calvin rebouilli. M. de Saint-Cyran irrité, et libre enfin, lançait Arnauld à la défense: les jeunes bacheliers de Sorbonne et de Navarre allaient prendre rang et faire renfort (Sainte-Beuve, Port-Royal, t. 2, 1842, p. 98).La Quelette demeurait dans la ruelle à côté de chez M. César (...). Laide à faire faire un écart à une mule, et toujours mise salement, comme une femme de campagne. Mais quoi, elle était seule de son métier dans le pays. Quand une particulière se conduisait mal: « Va faire renfort à la Quelette! » (Pourrat, Gaspard, 1930, p. 115). ♦ Prêter renfort (à qqn). Synon. prêter main-forte*.Dans les récréations du lycée, on les voyait toujours ensemble; brimés sans cesse, se consolant, se prêtant patience, renfort (Gide, Caves, 1914, p. 760). B. − Ce qui/celui qui renforce. 1. [Corresp. à renforcer I A 2] Chaussettes montantes (...) fil renfort nylon (Catal. Blanc [Bon Marché], 1952, p. 21). 2. [Corresp. à renforcer I A 6 b α] Il cherchait volontiers dans la considération d'autrui un renfort à sa modestie; cette considération venait-elle à manquer, la modestie tout aussitôt faisait faillite (Gide, Faux-monn., 1925, p. 1079). 3. [Corresp. à renforcer I B 1] a)
α) Moyens, matériel de renfort. Ne trouvant pas la lueur de la lampe suffisamment rayonnante, le Matamore était allé chercher dans la charrette deux flambeaux de théâtre, (...) renfort qui produisit une illumination assez magnifique (Gautier, Fracasse, 1863, p. 24): 3. L'idéologie est-elle couverture ou conviction sincère? Vaut-elle dans l'esprit des dirigeants comme renfort pour la conquête d'avantages matériels ou forme-t-elle une exigence autonome, susceptible d'empêcher l'acceptation de manœuvres ou l'utilisation de moyens en contradiction avec elle?
Meynaud, Groupes pression en Fr., 1958, p. 110. − [Avec déterm. désignant] ♦ [la nature du renfort] Et puis, Emile courra aux maisons qui sont là-bas, et nous trouvera un renfort de pain bis (Sand, Péché de M. Antoine, t. 1, 1845, p. 271).Le Macquarie courut grand largue, bâbord amure, sous ses basses voiles, ses huniers, ses perroquets, sa brigantine et ses focs. Plus tard, les bonnettes et les cacatois furent hissés. Mais, malgré ce renfort de toiles, le brick avançait à peine (Verne, Enf. cap. Grant, t. 3, 1868, p. 15).À grand(s) renfort(s) de, loc. prép. À l'aide d'une grande quantité de. Synon. fam. à grand coup de, avec force.Raconter qqc. à grand renfort de détails; faire comprendre qqc. à grand renfort de gestes; soutenir une hypothèse à grand renfort de textes et d'arguments; mener campagne à grand renfort d'affiches; organiser/présenter qqc. à grand(s) renfort(s) de publicité; créer qqc. à grand renfort de millions; débarbouiller qqn à grand renfort d'eau et de savon. Si j'avais le pouvoir absolu, à coup sûr j'enverrais M. Oudot et compagnie travailler aux fortifications, à grands renforts de coups de pied (Flaub., Corresp., 1843, p. 141).V. barricader ex. 4, côté III A 2 c rem. ex. de Jankélévitch: 4. S'il n'avait eu pour lui que cette légèreté, dont du reste, à la fin de sa vie, il se repent et s'excuse, il n'aurait jamais été l'artiste que nous admirons. C'est précisément ce que j'ai dit dans ma dissertation de ce matin, et fait valoir à grand renfort de citations...
Gide, Faux-monn., 1925, p. 1143. ♦ Var. Avec (grand) renfort de (vieilli). Un loup-cervier ravageait le pays. Des gentilshommes de la vénerie du roi le traquèrent avec grand renfort de valets et de paysans (Hugo, Rhin, 1842, p. 159).[Nicole] écrivit sa traduction des Provinciales en latin avec renfort de dissertations, sous le nom supposé de Wendrock, soi-disant théologien allemand (Sainte-Beuve, Port-Royal, t. 4, 1859, p. 310). ♦ [le bénéficiaire de l'action] Wagner (...) a adopté [la Clarinette basse] (...) comme renfort des Bassons (Widor, Techn. orch. mod., 1904, p. 37).
β) Personne, personnel de renfort. [On] envoyait dans un régiment de discipline les deux soldats escortés par le gendarme, et que moralisait de son mieux un fusilier qu'il avait pris comme renfort pour les contenir (Flaub., Champs et grèves, 1848, p. 246).Jean Leroux: J'allais vous rejoindre, mon empereur (...). L'empereur: Allons, messieurs, voilà du renfort. Un habit à ce brave homme-là, et qu'il reprenne son rang dans ma garde (Dumas père, Barrière Clichy, 1851, v, 12, p. 129). ♦ Prendre du renfort. Une « chapelle » au temps de Palestrina comptait une douzaine d'exécutants, enfants et hommes, et nos meilleures maîtrises parisiennes sont sensiblement dans le même cas. Sans doute, on peut pour les messes « de gala » prendre du renfort (Potiron, Mus. église, 1945, p. 47). b) Dans le domaine milit., au sing. ou au plur.Un/des renfort(s) (de/en). Moyens supplémentaires en hommes et/ou en matériel. Appeler, chercher, demander du/un/des renfort(s); amener, envoyer, fournir du/un/des renforts; engager des renforts dans une bataille. V. auxiliaire ex. 9, éviter A 1 d ex. de Green, possible II A 1 a α ex. de Malraux. − [Avec déterm. désignant] ♦ [la nature du renfort] Renforts aériens, navals; renforts de personnel, de vivres; réclamer des renforts en canon. Sans doute les Américains attendent-ils que des renforts d'aviation leur assurent une supériorité numérique écrasante avant d'engager le combat (Gide, Journal, 1942, p. 147).Toutes les troupes spéciales (...) pourraient recevoir, pour la circonstance, un renfort d'encadrement (De Gaulle, Mém. guerre, 1954, p. 627). ♦ [l'importance du renfort] Le prince de Cobourg, déterminé à secourir la place, et ayant reçu la veille un renfort de vingt mille Prussiens, s'avança le 26 juin (8 messidor) à trois heures du matin sur la Sambre (Chateaubr., Essai Révol., t. 2, 1797, p. 43). − En partic. Troupe(s) de renfort. L'ennemi reçut des renforts; 4 000 Prussiens, puis toutes les cavaleries des deux grandes armées: 20.000 cavaliers enveloppaient les Français (A. France, Vie littér., t. 2, 1890, p. 183).Réclamer des renforts, réclamer du matériel, c'était très bien. Mais comment les faire arriver, au rythme qu'exigerait une grande bataille? (Romains, Hommes bonne vol., 1938, p. 30).Au sing., vieilli. Le gouverneur ayant réussi subtilement à faire entrer un renfort par la porte extérieure du château, les bourgeois s'inquiétèrent et consentirent à traiter (Barante, Hist. ducs Bourg., t. 4, 1821-24, p. 129).Elle le suit de dépôt en dépôt, loue une chambre en face du quartier, et de cinq à neuf, le plaint, le console, le dorlote jusqu'au jour où il va faire partie d'un renfort pour le front (Vercel, Cap. Conan, 1934, p. 155). ♦ [Avec adj. ethnique] Renforts alliés, anglais. [Le gouvernement] chercha à réaliser avec le gouvernement britannique l'entente indispensable pour régler le transport des renforts français (Joffre, Mém., t. 2, 1931, p. 123).V. hongrois ex. 1. 4. Spécialement a)
α) HIST. DE L'ARM. Pièce de fer ou d'acier à l'épreuve des armes blanches, des balles d'arquebuse ou de mousquet que l'on ajoutait notamment aux plastrons des armures pour les renforcer (d'apr. Leloir 1961). Renfort de plastron (Nouv. Lar. ill.-Lar. encyclop.).
β) CHARPENT., MENUIS. ,,Surcroît d'épaisseur, sorte d'épaulement ménagé au collet d'un tenon et à la contre-partie sur une des arêtes de la mortaise qui le reçoit`` (Jossier 1881).
γ) MARINE ♦ ,,Bande de toile qui double certaines parties d'une voile`` (Gruss 1978). Les parties des voiles qui sont les plus exposées à s'user par le frottement ou à se déchirer sous l'effort des manœuvres sont consolidées par des bandes de toile appelées doublages ou renforts (Galopin, Lang. mar., 1925, p. 71). ♦ Renfort de proue. ,,Doublage en tôle ou en acier disposé au voisinage de la flottaison à l'avant, sur les navires destinés à naviguer dans les mers où l'on rencontre des glaces`` (Gruss 1978).
δ) TECHNOL. Pièce que l'on ajoute à une autre pour en augmenter la résistance. On renforce l'ouvrage [arcs demi-encastrés] (...) à l'aide de (...) pièces en fer forgé ou de flasques ou renforts en fonte (Résal, Ponts métall., t. 1, 1885, p. 486): 5. Vers 1935 on recourait couramment à ce mode de montage [la construction par préfabrication soudée] en Allemagne pour les cloisons transversales que l'on fabriquait déjà en atelier avec virures verticales en tôles pliées et soudées, ce qui permettait de supprimer les renforts rapportés.
Le Masson, Mar., 1951, p. 95. b) P. méton. Partie renforcée de quelque chose. ♦ [À propos de structures architecturales] Les couleurs du peintre le plus habile pourroient à peine (...) indiquer ces reflets si variés, ces ombres contrastantes produites par les saillies plus ou moins grandes des renforts cintrés, qui, de la base, s'élèvent jusqu'aux entablemens (Crèvecœur, Voyage, t. 1, 1801, p. 214). ♦ ARM. Partie postérieure, la plus épaisse, d'un canon. Pour les canons ayant leur lumière percée dans le renfort les étoupilles sont formées par deux tubes en plume, de mêmes dimensions que ceux des étoupilles à friction en plume (Ledieu, Cadiat, Nouv. matér. nav., t. 1, 1889, p. 120). ♦ BONNET. ,,Partie d'un article plus épaisse, ou tricotée avec un fil d'appoint ou de plus grande résistance`` (GDEL). Prononc. et Orth.: [ʀ
ɑ
̃fɔ:ʀ]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. 1340 « enchère » (Arch., JJ 72, f o227 r ods Gdf.); 2. a) 1408-09 renforch « doublure » (doc. du Hainaut, ibid.); b) 1432-33 renffort « aideau, faux panneau » (doc. de Tournai, ibid.); 3. ca 1480 renffort « aide (en parlant de gens adjoints à une troupe) » (Mistère du Viel Testament, éd. J. de Rothschild, t. 4, p. 291, 33738); 4. a) 1534 renfort de potages (Rabelais, Gargantua, éd. R. Calder, M. A. Screech et V.-L. Saulnier, chap. 35, p. 261, 70); 1670 pour renfort de potage « par surcroît » (Molière, Bourgeois gentilhomme, III, 3); b) 1534 à grand renfort de... (Rabelais, op. cit., chap. 1, p. 23, 66-67); c) 1666-67 renfort de joie (La Fontaine, Contes, Gageure ds
Œuvres, éd. H. Régnier, t. 4, p. 323, 288). Pour renforç, subst. verbal de renforcer*. Cf. mil. xves. renforce « corps de réserve » (Mystère du siège d'Orléans, 9236 ds Gdf.). Fréq. abs. littér.: 518. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 428, b) 476; xxes.: a) 417, b) 1 331. Bbg. Sculpt. 1978, p. 574. |