| * Dans l'article "RADIOTÉLÉPHONIE,, subst. fém." RADIOTÉLÉPHONIE, subst. fém. PHYS., RADIOTECHN. Téléphonie sans fil; procédé de transmission et de réception de sons, au moyen d'ondes radioélectriques. Les radars de port permettent de repérer et de guider les navires par radiotéléphonie, aussi bien pour (...) l'entrée au port que pour la mise à quai (M. Benoist, Pettier, Transp. mar., 1961, p. 194).L'ionosphère, « carrefour de recherches » suivant une expression de Bureau, joue un rôle fondamental dans le réseau mondial de radiotéléphonie et de radiodiffusion et son étude constitue une branche importante de la géophysique (Hist. gén. sc., t. 3, vol. 2, 1964, p. 274).REM. Radiotéléphone, subst. masc.,,Ensemble d'un émetteur et d'un récepteur de radiotéléphonie de petite puissance, le plus souvent mobile ou même portatif`` (GDEL). Prononc. et Orth.: [ʀadjotelefɔni]. Att. ds Ac. 1935. Étymol. et Hist. 1907 (Nouv. Lar. ill. Compl.). Formé de l'élém. radio-2* et de téléphonie*. DÉR. Radiotéléphonique, adj.Qui concerne ou emploie la radiotéléphonie. Communication, liaison(s) radiotéléphonique(s) internationale(s). L'émetteur radio et le récepteur radio doivent être accordés; dans tous les cas cet accord est nécessaire, quel que soit le mode de transmission. Reprenant l'exemple d'une transmission radiotéléphonique on règle généralement le récepteur de manière qu'il reproduise les vibrations produites devant le microphone (Couffignal, Mach. penser, 1964, p. 122).− [ʀadjotelefɔnik]. − 1reattest. 1907 (Nouv. Lar. ill. Compl.); de radiotéléphonie, suff. -ique*. BBG. − Quem. DDL t. 30 (s.v. radiotéléphonique). |