| PARABELLUM, subst. masc. inv. Pistolet automatique de fort calibre. Conan lève les bras au ciel: −D'où j'étais, je ne pouvais pas lire la marque de leurs pétoires!... Des pistolets automatiques, probable. −Exactement des parabellum. On a retrouvé les balles (Vercel, Cap. Conan, 1934, p.100).On se battit, d'abord au sabre de cavalerie puis au parabellum, une arme de guerre (Cendrars, Bourlinguer, 1948, p.223).Prononc. et Orth.: [paʀabεlɔm] et [-be-]. Au plur. inv. selon Rob., Pt Rob., Hachette 1980 mais des parabellums ds Vialar, Odeurs et sons, 1953, p.39. Étymol. et Hist. 1928 (Malraux, Conquér., p.57). Mot formé en all. d'après la maxime lat. si vis pacem, para bellum «si tu veux la paix, prépare la guerre» (para, impér. de parare «préparer», bellum «guerre»); cette arme a été d'abord fabriquée à Berlin-Spandau, v. Brockhaus Enzykl. Fréq. abs. littér.: 11. |