| MAC, subst. masc. Arg. Souteneur. Le mac de l'établissement, appelé par les femmes le vieux marquis (Goncourt, Journal, 1856, p. 259).Une vraie gonzesse du milieu préfère rester avec un vieux mac de soixante piges qui la roue de coups, mais qui possède un nom dans le milieu et plusieurs condamnations (Trignol, Pantruche, 1946, p. 81).Prononc. et Orth.: [mak]. Macque (Courteline, Ronds-de-cuir, 1893, 6etabl., 3, p. 254). Larch. 1880: mac, maque, macque; Esn. 1966: mac v. maq. Au plur. des macs. Étymol. et Hist. 1835 (Raspail ds Le Réformateur, 20 sept., p. 2). Abrév. de maquereau2*. Fréq. abs. littér.: 37. Bbg. Chautard Vie étrange Arg. 1931, pp. 448-450. |