| ESTIVAL, ALE, AUX, adj. A.− D'été, qui est relatif à l'été. Mais le même bariolage caractérise les paysages estivaux, le jaune des céréales s'opposant au vert des fourrages (Meynier, Paysages agraires,1958, p. 130): Le grand jeu national n'est plus, maintenant, limité à la saison estivale puisque l'équipe d'Angleterre va, l'hiver, jouer en Australie où règne l'été...
Morand, Londres,1933, p. 140. B.− Qui est propre à l'été. On entendait parler de diarrhée estivale, de gastro-entérite (Malègue, Augustin, t. 2, 1933, p. 113). Prononc. et Orth. : [εstival], [e-], plur. [-vo]. Ds Ac. 1835-1932. Étymol. et Hist. 1119 « d'été » (Ph. de Thaon, Comput, 3255 ds T.-L.). Empr. au lat. de l'époque impériale aestivālis, de même sens, dér. du lat. class. aestīvus « id. », dér. de aestās, -ātis (été*). Fréq. abs. littér. : 35. |