| ENJOLIVURE, subst. fém. Petit enjolivement. Cet étui-là est trop uni, il faut y mettre quelques enjolivures (Ac.1798-1878).− P. méton. Cet art rustique et familier que cultivent les montagnards soumis à de longs hivernages : bois découpés, enjolivures, toupets de blaireaux, fleurs en plumes (Giono, Voy. Italie,1953, p. 205). − Au fig. Raconter avec les enjolivures de son cru (Margueritte ds Lar. Lang. fr.). Prononc. et Orth. : [ɑ
̃
ʒ
ɔlivy:ʀ]. Ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. 1611 (Cotgr.). Dér. du rad. de enjoliver*; suff. -ure*. Fréq. abs. littér. : 1. Bbg. Duch. Beauté 1960, p. 58. |