| * Dans l'article "ENCAUSTIQUER,, verbe trans." ENCAUSTIQUER, verbe trans. Enduire d'encaustique. Encaustiquer un meuble (Ac.1932, Rob.).C'est elle aussi qui m'a enseigné à encaustiquer les cuivres (Colette, Music-hall,1913, p. 23).J'ai entendu Lucie qui faisait, pour la centième fois, ses doléances à la patronne, tout en encaustiquant les marches (Sartre, Nausée,1938, p. 26).Prononc. et Orth. : [ɑ
̃kɔstike] ou [ɑ
̃kostike], (j')encaustique [ɑ
̃kɔ(o)stik]. Cf. encaustique. Le verbe est admis ds Ac. 1932. Étymol. et Hist. 1864 (Littré). Dér. de encaustique*; dés. -er. Fréq. abs. littér. : 2. DÉR. Encaustiquage, subst. masc.Action d'encaustiquer. On terminera par un encaustiquage qui sera renouvelé ensuite de temps à autre (Catal. instrum. lab. [Jouan], 1933, p. 4).− [ɑ
̃kɔstika:ʒ] ou [ɑ
̃kostika:ʒ]. Cf. encaustique. D'apr. la règle de Thim. Princ. 1967, p. 20 ,,seuls s'écrivent par -quage les dérivés d'un verbe en -quer qui ne correspondent pas à un simple terminé par c``. D'où marquage (marquer, marque), mais parcage (parc). Il conviendrait d'apr. ce principe d'écrire encaustiquage (encaustique) bien qu'on rencontre encausticage ds la docum. (cf. Robinot, Vérif., métré et prat. trav. bât., t. 2, 1928, p. 178). − 1reattest. 1907 (Nouv. Lar. ill. Suppl.); du rad. de encaustiquer, suff. -age*. |