| DÉCOUSURE, subst. fém. A.− Vx. Partie décousue d'un vêtement, d'une étoffe. L'eau, la neige y entraient souvent par une décousure inaperçue (Balzac, L. Lambert,1832, p. 56).Cela n'est pas déchiré, ce n'est qu'une décousure (Ac.1878-1932). B.− VÉN. [Correspond à découdre B] Blessure d'un chien causée par un coup de défense de sanglier, ou un coup d'andouillers de cerf (d'apr. Duchartre 1973 et Vén. 1974). Prononc. et Orth. : [dekuzy:ʀ]. Ds Ac. 1718-1932. Étymol. et Hist. 1. 1611 « partie décousue » (Cotgr.); 2. 1655 vén. (Salnove, Vén., p. 333 ds La Curne). Dér. du rad. de décousu, part. passé de découdre*; suff. -ure*. Fréq. abs. littér. : 1. |