| CONSOLATOIRE, adj. RHÉT. [En parlant d'un écrit, d'une parole] Dont la fonction propre est de consoler. Épître, discours consolatoire (Littré). Je lui dis (...) que ce poème (...) serait, au surplus, consolatoire, et qu'elle ne laisserait pas d'y trouver la récompense de son chagrin (Gide, Thésée,1946, p. 1444).Rem. Attesté ds la plupart des dict. gén. des xixeet xxes. sauf Ac. 1878, 1932, DG, Rob. Prononc. et Orth. : [kɔ
̃sɔlatwa:ʀ]. Ds Ac. 1694-1798. Étymol. et Hist. Début xives. joie consolatoire (J. Chapuis, Trésor, éd. Méon, Rose, t. III, 1198). Empr. au lat. class consolatorius « qui console ». Fréq. abs. littér. : 1. |