| * Dans l'article "CAPOTER2,, verbe trans." CAPOTER2, verbe trans. Munir un véhicule d'une capote (cf. capote2). − [Employé principalement au part. passé adj., en parlant d'un véhicule] Capoté. Qui est muni d'une capote : Toutes ces marchandises arrivaient dans de hautes voitures attelées de mules, et fortement capotées, ...
Pesquidoux, Le Livre de raison,1925, p. 110. − P. métaph. [Surtout en parlant des yeux] Avec ses yeux capotés (Huysmans, En ménage, 1881, p. 32); les paupières capotées (J. Lorrain, Monsieur de Phocas,1901, p. 169). Rem. Attesté ds Littré, Guérin 1892, Lar. 20e, Lar. encyclop. et Quillet 1965. Prononc. : [kapɔte], (je) capote [kapɔt]. Étymol. et Hist. 1877 « garnir d'une capote » (Littré Add.). Dér. de capote1*; dés. -er. Fréq. abs. littér. : 1. DÉR. Capotage, subst. masc.Action de monter ou disposer, en la pliant ou en la dépliant, la capote d'une voiture; la capote ainsi disposée. Deux coureurs destinés à lui venir en aide [au cocher], postés debout sur le marchepied de derrière de la voiture, dont le capotage relevé forme une espèce de lucarne, l'œil constamment fixé sur les chevaux, se jettent à leur tête au moindre incident (Journal officiel,31 août 1875, p. 7405, 2ecol. ds Littré Suppl. 1877).− [kapɔta:ʒ]. − 1reattest. 1875 id.; de capoter2, suff. -age*. |