| BOUGREMENT, adv. Fam. Extrêmement, diablement. Une besogne bougrement difficile (Flaubert, Correspondance,1857, p. 190).Ça sent bougrement le brûlé (Giono, Colline,1929, p. 154).1reattest. 1583 « à la manière des débauchés » (Anc. poésies fr., éd. de Montaiglon, Paris, 1856, t. 3, p. 318), attest. isolée; début xviiies. « très » (J. de Domfront, p. 5 dans IGLF Techn.); dér. de bougre*, suff. -ment2*. − [bugʀ
əmɑ
̃]. − Fréq. abs. littér. : 71. |