| BOUCHONNAGE, BOUCHONNEMENT, subst. masc. ART. VÉTÉR. Action de bouchonner un cheval (cf. bouchonner1) : 1. Tub hâtif et froid, bouchonnage, coup d'étrilles, soins divers, etc.
Toulet, Les Tendres ménages,1904, p. 67. − P. ext., p. plaisant. Action de nettoyer : 2. Mounnezergues avait fini son bouchonnage quotidien de la chapelle et du jardin circonvoisin.
Queneau, Pierrot mon ami,1942, p. 142. Rem. Lar. encyclop. atteste l'emploi du terme en technol. pour signifier « opération consistant à bouchonner une planche ou une feuille de placage » (cf. bouchonner1rem. et bouchonneux, -euse rem.). Prononc. Aucune transcr. de bouchonnage; [buʃ
ɔnmɑ
̃]. Étymol. et Hist. I. Bouchonnage 1907 (Lar. pour tous). II. Bouchonnement 1853 (La Châtre). Dér. de bouchonner*; I suff. -age*; II suff. -ment1*. |