| BECQUETAGE, subst. masc. A.− ,,Action de becqueter, de se becqueter`` (Bél. 1957). ,,Coups de bec`` (Lar. 19e, Nouv. Lar. ill.) : 1. « Broutesaule, sans doute guéri du becquetage de l'épervier, se tenait auprès de la monture de l'abbesse ».
E. Sue (dsLar. 19e,1867). Rem. Attesté dans la plupart des dict. gén. du xixeet du xxes. (dont Ac. 1932). B.− Emplois spéc. 1. CARR. ,,Entaille en forme de coin, pratiquée au niveau du sol dans la façade d'une carrière souterraine, en Charente, pour dégager les blocs avant de les faire tomber`` (Noël 1968). 2. SP. Becquetage d'aile. Action de becqueter* de l'aile : 2. [Dans cette course pour « pros » que d'irrégularités!] Demi fond [sic], becquetage d'aile, petites promenades en voiture, rien n'avait manqué.
Pédale,21 août 1927, p. 7, col. 1. 1reattest. av. 1857 (supra ex. 1); dér. de becqueter*, étymol. 2 a, suff. -age*. − [bεkta:ʒ]. |