| AURIGE, subst. masc. ANTIQ. Conducteur de char dans la guerre ou les courses du cirque : Et quel style pour s'arrêter net (...) et se bloquer dans cette superbe attitude de l'aurige qui contient brusquement des chevaux vifs.
J. de La Varende, Les Gentilshommes,1948, p. 18. − Statue représentant un aurige. L'aurige de Delphes. PRONONC. : [oʀi:ʒ] (seule transcr. mod. ds Pt Lar. 1968). ÉTYMOL. ET HIST. − 1823 antiq. rom. (Boiste).
Empr. au lat. auriga « cocher, celui qui conduit le char aux jeux du cirque » (Cicéron, Rep., 2, 68 ds TLL s.v., 1498, 40). STAT. − Fréq. abs. littér. : 5. BBG. − Lavedan 1964. − Perraud 1963. |