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ART, subst. masc.
[P. oppos. à la nature ,,conçue comme puissance produisant sans réflexion`` (Lal. 1968) et à la science ,,conçue comme pure connaissance indépendante des applications`` (Ibid.)] Ensemble de moyens, de procédés conscients par lesquels l'homme tend à une certaine fin, cherche à atteindre un certain résultat :
1. Quand la tourmente s'annonce sur les mers orageuses, le pilote appelle son art, et son art lutte contre la tourmente. Quand le calme le saisit sur les plages de la Pacifique, il n'est plus d'art, plus d'effort, on se consume lentement, on périt dans l'abattement, c'est un calme de mort. Senancour, Rêveries,1799, p. 81.
2. Dès qu'il s'agit d'art, c'est-à-dire d'expression humaine à travers une technique définie, cette apparence grossière, surchargée, se décante, s'épure, et ne laisse apparaître que de féériques images. Lhote, Peint. d'abord,1942, p. 86.
I.− [Cette activité en tant qu'elle cherche une fin utilitaire]
A.− [En parlant de mét., d'activités ou de techn. diverses] Synon. de technique :
3. En exposant ce que furent les arts dans les deux premières époques de la société, on fera voir comment aux arts qui travaillent le bois, la pierre, ou les os d'animaux, qui préparent les peaux, et qui forment des tissus, ces peuples primitifs purent joindre les arts plus difficiles de la teinture, de la poterie, et même les commencements des travaux sur les métaux. Condorcet, Esquisse d'un tableau hist. des progrès de l'esprit hum.,1794, p. 37.
4. Ce religieux pratiquait l'art de fabriquer du bleu d'outremer en broyant des pierres de lapis-lazuli calcinées. L'outre-mer valait alors son poids d'or; et le prieur, qui avait sans doute des secrets, estimait le sien plus précieux que le rubis et le saphir. A. France, Le Lys rouge,1894, p. 139.
[En parlant d'animaux] Adresse, industrie :
5. Ils les [les nids] construisent avec beaucoup d'art en leur donnant la forme d'une bourse avec une seule ouverture. H. Coupin, Animaux de nos pays,1909, p. 153.
Spéc. Le grand art, l'alchimie; l'art sacerdotal ou art sacré, la science magique des Égyptiens, la philosophie hermétique; l'art royal, la franc-maçonnerie.
SP. Le noble art. La boxe.
SYNT. Art du potier, du luthier; art de l'agriculture, de la distillation; art de nager, de pêcher à la ligne, de préparer un feu, de tresser, de toréer; art culinaire, dentaire, publicitaire, équestre, photographique; joyau, verrerie d'art; ouvrier d'art; les arts appliqués, les arts industriels, les arts et métiers.
Ouvrage d'art. ,,Produit de la technique pour modifier la nature dans un but d'adaptation à l'usage de l'homme.`` (Miq. 1967) :
6. Pour (...), détruire les ouvrages d'art sur lesquels passent les voies ferrées qui suivent le littoral [ennemi], (...), il faut des croiseurs nombreux et rapides; ... A. Croneau, Construction pratique des navires de guerre, t. 1, 1892, p. 124.
B.− [P. oppos. à science ,,conçue comme une pure connaissance indépendante des applications`` (Lal. 1968)] :
7. La médecine n'est pas une science; c'est un art; par conséquent, son application est inséparable de l'artiste. (...). En effet, dans toutes les connaissances humaines, il y a à la fois de la science et de l'art. La science est dans la recherche des lois des phénomènes et dans la conception des théories; l'art est dans l'application, c'est-à-dire dans une réalisation pratique en général utile à l'homme qui nécessite toujours l'action personnelle d'un individu isolé. C. Bernard, Principes de méd. exp.,1878, p. 175.
SYNT. Art de la guerre; art médical, vétérinaire; art héraldique, magique; art des haruspices.
Rem. L'homme de l'art désigne un médecin ou plus rarement un architecte.
C.− P. ext., constr. fréq. art de + inf. Talent, habileté.
1. [Dans une activité intellectuelle, sociale, ludique etc...] :
8. − Monsieur le consul, répondit dogmatiquement l'inspecteur de police, les grands voleurs ressemblent toujours à d'honnêtes gens. Vous comprenez bien que ceux qui ont des figures de coquins n'ont qu'un parti à prendre, c'est de rester probes, sans cela ils se feraient arrêter. Les physionomies honnêtes, ce sont celles-là qu'il faut dévisager surtout. Travail difficile, j'en conviens, et qui n'est plus du métier, mais de l'art. Verne, Le Tour du monde en 80 jours,1873, p. 26.
9. C'est [Bergson] l'un des esprits les plus importants de l'époque (...). Songez à ce qu'il faut d'invention et de labeur, de rigueur et d'art, pour édifier un système. Songez que notre temps est peu favorable à ces vastes constructions, qu'il faut une sorte d'héroïsme pour entreprendre. Valéry, Entretiens avec F. Lefèvre,1926, p. 77.
SYNT. Art de diriger une maison, de duper les gens, d'écrire, d'élever les enfants, d'embrouiller les cartes, de gérer sa fortune, de négocier, d'organiser des travaux, de penser, de persuader; art de la conversation, de l'ironie, des affaires, des plaidoiries, des querelles.
2. [Dans une manière d'être, un savoir-vivre] :
10. Le renouvellement, l'emploi, le ménagement de sa propre force, c'est le grand art de la vie; il y a une diététique de l'esprit, et une hygiène de l'âme. On se le rappelle sitôt qu'on en a violé les prescriptions et qu'on pâtit de cette transgression imprudente. Amiel, Journal intime,1866, p. 138.
11. L'art d'être heureux : on devrait bien enseigner aux enfants l'art d'être heureux. Non pas l'art d'être heureux quand le malheur vous tombe sur la tête; je laisse cela aux stoïciens; mais l'art d'être heureux quand les circonstances sont passables et que toute l'amertume de la vie se réduit à de petits ennuis et à de petits malaises. Alain, Propos,1910, p. 83.
SYNT. Art d'aimer, d'être grand-père, de perdre du temps, de plaire, de voyager; art de la douceur, de l'indifférence.
II.− [La finalité de cette activité est de caractère esthétique, désintéressée, non utilitaire]
A.− Expression dans les œuvres humaines d'un idéal de beauté.
1. Correspondant à un type de civilisation.
SYNT. Art assyrien, attique, aztèque, bouddhique, chrétien, crétois, égéen, égyptien, étrusque, gréco-romain, hittite, ionique, khmer, méditerranéen, musulman, nègre, persan, phénicien, provençal, rupestre.
Coll. Ensemble des productions artistiques d'une époque, d'un pays, d'une civilisation. Art ancien, art moderne.
2. Correspondant à une catégorie sociale (origine ou destination). Art populaire.
Art de masse(s). Art destiné à la masse :
12. ... l'Amérique donne actuellement leur accent aux arts de masses : la radio, le cinéma et la presse. Malraux, Les Conquérants,1928, p. 166.
SYNT. a) Art abstrait, académique, didactique, épique, figuratif, populaire, primitif; art chorégraphique, comique, dramatique, décoratif, littéraire, musical, pictural, théâtral; art de l'architecture, du dessin, du piano; aimer, cultiver, étudier un/l'art. b) Les beaux-arts; les arts d'agrément; les arts d'expression; encourager, protéger les arts; se faire un nom dans les arts.
3. Correspondant à une vision, à une conception propre à l'artiste :
13. Par l'art seulement nous pouvons sortir de nous, savoir ce que voit un autre de cet univers qui n'est pas le même que le nôtre, et dont les paysages nous seraient restés aussi inconnus que ceux qu'il peut y avoir dans la lune. Grâce à l'art, au lieu de voir un seul monde, le nôtre, nous le voyons se multiplier, et, autant qu'il y a d'artistes originaux, autant nous avons de mondes à notre disposition, plus différents les uns des autres que ceux qui roulent dans l'infini et, bien des siècles après qu'est éteint le foyer dont il émanait, qu'il s'appelât Rembrandt ou Ver Meer, nous envoient encore leur rayon spécial. Proust, Le Temps retrouvé,1922, p. 895.
14. Le problème pour l'artiste absurde est d'acquérir ce savoir-vivre qui dépasse le savoir-faire. Pour finir, le grand artiste sous ce climat est avant tout un grand vivant, étant compris que vivre ici c'est aussi bien éprouver que réfléchir. L'œuvre incarne donc un drame intellectuel. L'œuvre absurde illustre le renoncement de la pensée à ses prestiges et sa résignation à n'être plus que l'intelligence qui met en œuvre les apparences et couvre d'images ce qui n'a pas de raison. Si le monde était clair, l'art ne serait pas. Camus, Le Mythe de Sisyphe,1942, p. 135.
15. Le monde de l'art n'est pas celui de l'immortalité, c'est celui de la métamorphose. Malraux, Antimémoires,Paris, Gallimard, 1967, p. 68.
P. ext. La beauté créée par l'artiste :
16. Maintenant que me voilà un peu hors de l'ouragan politique, je serai bien heureux de causer avec vous de tout ce que nous aimons ensemble, et de faire reprendre à mon esprit un bain d'idéal, d'art et de poésie. Hugo, Correspondance,1872, p. 303.
4. Considéré comme un absolu. Un peintre qui ne vit que pour l'art (Dub.).L'art en soi, l'art pour l'art, le péché contre l'art.
5. Considéré dans chacun des domaines où s'exerce la création d'œuvres artistiques :
17. anne vercors. − On m'a dit que d'ingénieur vous vous êtes fait architecte. pierre de craon. − C'est vrai. anne vercors. − Et qui vous enseigna cet art? pierre de craon. − La nature pour qui sait l'écouter est un maître excellent. La pierre que je maniais m'a instruit. Claudel, La Jeune fille Violaine,2eversion, 1901, IV, p. 646.
SYNT. Œuvre, objet d'art (statue, tableau, etc.); livre, reliure, théâtre d'art; amateur d'art, celui qui collectionne les œuvres d'art.
B.− [P. oppos. aux mét. qui ont pour objet la production de choses utiles et p. oppos. à la nature, à ce qui est naturel] Ensemble des règles, des moyens, des pratiques ayant pour objet la production de choses belles :
18. ... − ce qui est vrai d'un homme l'est tout autant d'un peuple. Pour l'un comme pour l'autre, l'art revêt donc une importance primordiale. Loin d'être un simple enjolivement de la vie, un luxe ou un ornement, où certains voudraient voir une annexe de l'oisiveté, l'art répond à une fonction profonde de la vie mentale. Il n'est pas de société qui ait pu se passer de lui. Huyghe, Dialogue avec le visible,1955, p. 382.
En partic., p. oppos. à technique :
19. Puisque l'art commence là où cessent les mécanismes de la technique, puisqu'il n'est pas un moyen mis au service de quelque autre activité mais son propre but et sa propre fin, la tentation n'est-elle pas pressante d'aller jusqu'au bout? La poésie est un langage de mots, mais où la transmission du sens et la correction de la forme ne valent que par leur perfection; elle se justifie par ce seul souci. De même l'art est un langage d'images qui ne s'assigne un sujet et des règles d'exécution que pour y trouver la beauté; il n'est art que par cette ambition. Huyghe, Dialogue avec le visible,1955p. 102.
C.− Pratique de ces règles; virtuosité, talent, maîtrise :
20. Sur cela, il se met à réciter et si bien, si agréablement, avec tant d'art et de feu, qu'il ravit son auditeur. Sainte-Beuve, Port-Royal,t. 5, 1859, p. 348.
21. ... je m'enchantai à son art, qui n'était guère qu'une virtuosité admirable, mais me faisait (sans qu'il fût, au sens intellectuel du mot, un vrai musicien) réentendre ou connaître tant de belle musique. Proust, Sodome et Gomorrhe,1922, p. 911.
Spéc. Goût :
22. Elle s'était enveloppée dans son rideau avec tant d'art et de précaution, qu'il ressemblait vraiment à un vieux châle, et qu'on ne voyait presque pas la bordure. En un mot, elle trouvait moyen de plaire encore dans cette friperie, et de prouver, une fois de plus sur terre, qu'une jolie femme est toujours jolie. Musset, Mimi Pinson,1845, p. 247.
SYNT. (voc. de la crit. d'art). Bel art, grand art; art charmant, délicat, désuet, fantaisiste, impersonnel, ingénieux, inimitable, inouï, magistral, merveilleux, noble, pompeux, rigoureux, savant, sublime, vieillot.
III.− Au plur.
A.− [La finalité est de caractère utilitaire]
1. Arts mécaniques. Ceux qui exigent un effort manuel ou un travail mécanique. Arts industriels, arts et métiers. Arts ménagers. Ensemble des techniques qui procurent le bien-être matériel en facilitant la tâche de la ménagère.
2. Arts libéraux. [P. oppos. aux arts mécaniques] Ceux où l'esprit et l'intelligence ont le plus de part.
[Dans les anc. universités] Les sept arts libéraux. Les sept arts du trivium (grammaire, dialectique, rhétorique) et du quadrivium (arithmétique, géométrie, histoire, musique).
B.− [La finalité est de caractère esthétique] Arts plastiques (peinture, statuaire); arts décoratifs; arts d'agrément (dessin, musique, danse); beaux-arts ou, absol., arts; l'Académie des Beaux-Arts; un protecteur des arts :
23. ... les néo-platoniciens du iiiesiècle et leur maître Plotin, réagissaient eux aussi contre la dictée des sens, contre le culte du visible et du palpable, aspiraient à les transgresser. « Les arts, disait Plotin, ne se bornent pas à imiter les objets qui s'offrent à nos regards », ils doivent « séparer de ces choses la forme de la matière et considérer la beauté dans les proportions ». Huyghe, Dialogue avec le visible,1955, p. 131.
Rem. On rencontre dans la docum. le néol. péj. artisme, subst. masc. (Valéry, Correspondance [avec Gide], 1910, p. 421; suff. -isme*). Ce qui prétend être de l'art sans en être. Tout l'artisme anglo-normand.
PRONONC. − 1. Forme phon. : [a:ʀ]. Rouss.-Lacl. 1927, p. 130, Grammont Prononc. 1958, p. 28 donnent ce mot en ex. d'une règle selon laquelle le a est ant. et long devant r final (cette règle ne s'applique pas au groupe oi). Enq. : /aʀ/. 2. Homon. : are, arrhes, ars, hard, hart.
ÉTYMOL. ET HIST. A.− 1. a) Ca 1100 males arz « arts maléfiques, sciences occultes » (Roland, 886, éd. J. Bédier, p. 76 : Reis Corsalis, il est de l'altre part. Barbarins est e mult de males arz) − 1493 maulvaiz arts « sorcellerie » (Cri du prevost de Paris, ap. Laborde ds Gdf. Compl.); cf. début xvies. art magique (Lemaire de Belges, Illustr., I, 19 ds Hug. : Au temps jadis, cestoit chose fort honnorable aux Princes de savoir lart Magique, laquelle comprenoit trois sciences principales : Cestasavoir, Religion, Medicine, et Astronomie); b) 1165-70 surtout au plur. « disciplines des études libérales (au Moyen-Âge) » (B. de Ste-Maure, Troie, éd. L. Constans, 8 ds T.-L. : les granz livres des set arz); c) début xiiies. « activité, métier, discipline manuelle » (Jourdain de Blaye, éd. K. Hofmann, 1299 ds T.-L. : quiert poissons, c'est li ars dont il vit); 2. a) 1165-70 « moyen de parvenir à quelque chose, adresse » (B. de Ste-Maure, Troie, 13349 ds Gdf. Compl. : Cil les prennent, mes c'est a tart, Et si vos dirai par quelle art); b) xvies. « manière de bien pratiquer une activité, méthode, règles propres à une discipline » (Amyot, Aristide, 27 ds Hug. : Par certaines tables, ou estoit escrite l'art d'exposer les signifiances des songes); 3. 1580 « ce qui est le produit de l'activité humaine, ce qui est artificiel (p. oppos. au naturel) » (Montaigne, III, 355 ds Littré : Si j'estois du mestier, je naturaliserois l'art, autant comme ils artialisent la nature). Rem. : encore employé au fém. au xvies. B.− 1. 1740 « mode d'expr. partic. de la beauté, activité dont le résultat est la création d'un objet ou d'une œuvre esthétique » (Trév.); 2. 1752 Beaux Arts « ensemble des activités et des œuvres où se manifeste la recherche d'une expression esthétique (La Combe, Dict. des Beaux Arts : Arts (Beaux); ils sont distingués des Arts simplement dits, en ce que ceux-ci sont pour l'utilité, ceux-là pour l'agrément. Les Beaux Arts sont Enfants du génie; ils ont la nature pour modèle, le goût pour maître, le plaisir pour but). Empr. au lat. ars, attesté dans les différents emplois de A : 1 a dep. Apulée (Apol., 25 ds OLD 175 § 5), « disciplines d'études libérales » − cf. 1 b dep. Cicéron (De Orat., I, 158, ibid., 175, § 6); 1 c dep. Pacuvius (Trag., 108, ibid., 175, § 7); 2 a dep. C. Lucilius (85, ibid., 175, § 1); 2 b au iers. av. J.-C. (Rhet. Her., I, 3, ibid., 175, § 9); 3 (Rhet. Her., 3, 28, ibid., 175, § 2); attesté dep. Cicéron au sens B 1 (N.D. 2, 82, ibid., 175, § 8) et au sens corresp. à B 2 (Leg., 2, 4, ibid., 175, § 8).
STAT. − Fréq. abs. littér. : 16 540. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 24 119, b) 20 592; xxes. : a) 23 515, b) 24 585.
BBG. − Bach.-Dez. 1882. − Bal.-Maq. 1968. − Bible 1912. − Blanche 1857. − Bouillet 1859. − Bréz. 1969. − Brun 1968. − Comte-Pern. 1963. − Divin. 1964. − Éd. 1913. − Éd. 1967. − Foi t. 1 1968. − Foulq.-St-Jean 1962. − Franck 1875. − Giraud-Pamart 1971. − Gougenheim (G.). La Relatinisation du vocab. fr. Annales de l'univ. de Paris. 1959, t. 29, no1, p. 8. − Goug. Mots t. 2 1966, pp. 69-73. − Gruss 1952. − Guilb. Aviat. 1965. − Jossier 1881. − Julia 1964. − Laborde 1872. − Lacr. 1963. − Lafon 1969. − Lal. 1968. − Larch. 1880. − Lar. comm. 1930. − Littré-Robin 1865. − Machabey (A.). Rem. sur le lex. musical du De Canticis de Gerson. Romania. 1958, t. 79, p. 178. − March. 1970. − Mathieu 1970. − Mat. Louis-Philippe 1951, p. 65, 66, 236. − Matoré (G.). Les Not. d'« art » et d'« artiste » à l'époque romant. R. sc. hum. 1951, t. 16, pp. 120-137. − Méd. Biol. t. 1 1970. − Mét. 1955. − Mont. 1967. − Neyron 1970. − Nysten 1814. − Paré (G.). Le Roman de la rose et la scolastique courtoise. Paris, 1941, pp. 45-47. − Plais.-Caill. 1958. − Pope 1961 [1952], § 777. − Porot 1960. − Roques (M.). L'Art et l'Encyclopédie. Annales de l'univ. de Paris. 1952, pp. 91-109. − Rougnon 1935. − Sandry-Carr. Peintres 1963. − Sexol. 1970. − Sociol. 1970. − Spr. 1967. − Tez. 1968. − Timm. 1892. − Tondr.-Vill. 1968. − Zastrow 1963, passim.