| APPUYER, verbe. I.− Emploi trans. [Le suj. désigne une pers.; un compl. d'obj. secondaire est fréquemment exprimé] A.− [L'idée dominante est celle d'un soutien donné à l'obj. premier] 1. Usuel. Soutenir quelque chose en lui donnant un appui. Appuyer qqc. à, contre : 1. Il saisit une échelle, l'appuie à la console, gravit les échelons, et la bourse qu'il tient à la main, il la dépose aux pieds de Notre-Dame.
Barrès, La Colline inspirée,1913, p. 158. − Au fig. a) [L'obj. désigne une chose] Démontrer une chose en justifiant la démonstration par des faits, des preuves, une documentation qui soutiennent l'hypothèse. Appuyer une théorie générale sur des références actuelles : 2. L'idée de correspondance, de solidarité entre les phénomènes terrestres, a pénétré ainsi et pris corps, fort lentement il est vrai, car il s'agissait de l'appuyer sur des faits, et non sur de simples hypothèses.
P. Vidal de La Blache, Des Caractères distinctifs de la géogr.,1913, p. 290. b) [L'obj. désigne une pers. ou une action qui l'intéresse] Aider quelqu'un, favoriser l'action de quelqu'un par son soutien. Appuyer qqn par son avis, de son autorité : 3. ... je dois solliciter de Monseigneur mon rappel à Tourcoing. Je voudrais vous supplier d'appuyer ma demande, sans rien cacher de ce que vous savez de moi, sans m'épargner en rien.
Bernanos, Sous le soleil de Satan,1926, p. 127. ♦ MILIT. (stratégie). Fournir une aide en matériel et/ou en hommes : 4. Je convoquai le 31 juillet le général Foch à Chantilly. Je lui rappelai que l'idée fondamentale de notre offensive, c'était d'appuyer les forces anglaises agissant au nord, notre offensive vers le sud restant secondaire et subordonnée aux résultats obtenus dans le nord.
Joffre, Mémoires,t. 2, 1931, p. 250. 2. Loc. techn. − MAR. Appuyer les vergues. Les soutenir contre le vent. (Attesté ds la plupart des dict. gén. du xixeet du xxesiècle). − PEINT. Appuyer la couleur. L'accentuer, la mettre en valeur : 5. Au delà de ces premières collines ravinées, qui me rappellent l'entrée du désert par Boghari, une seconde chaîne irrégulière, dentelée, fort en désordre. Sa couleur violâtre appuie la couleur ardente du premier plan et ménage un accord de toute délicatesse entre ce jaune brutal et le ciel bleu.
Fromentin, Voyage en Égypte,1869, p. 60. − VÉN. Appuyer les chiens. Les animer du cor et de la voix. (Attesté ds tous les dict. gén. du xixeet du xxesiècle). B.− [L'idée dominante est celle d'une pression exercée sur l'obj. premier] 1. Usuel. Peser sur une chose de manière à la presser sur ou contre une autre. Appuyer qqc. sur, contre : 6. La voix affectueuse de l'enfant reprit : − Il ne faut pas tant te fatiguer, papa. M. Jeannin attira à lui la tête d'Olivier, et l'appuya contre sa poitrine, ...
R. Rolland, Jean-Christophe,Antoinette, 1908, p. 854. − En partic. [L'obj. dir. désigne une partie du corps humain] :
7. Je vis alors Belkiss, c'était elle, s'avancer modestement, enveloppée dans ses voiles comme une jeune mariée, et appuyer sur mon lit ses mains pudiques et son genou de lis, comme pour s'y introduire à mes côtés.
Nodier, La Fée aux miettes,1831, p. 162. − Au fig. Appuyer son regard. Regarder avec insistance : 8. Javert semblait ne pas entendre. Il appuyait sur Jean Valjean sa prunelle fixe.
Hugo, Les Misérables,t. 2, 1862, p. 564. 2. Emplois techn. − ESCR. Appuyer la botte. Appuyer le fleuret sur le corps de l'adversaire après l'avoir touché. ♦ Au fig. Presser, embarrasser quelqu'un. (Attesté ds la plupart des dict. gén. du xixeet du xxesiècle). − MAN. Appuyer l'éperon à un cheval, et, p. ell., appuyer des deux. (Attesté ds la plupart des dict. gén. du xixeet du xxesiècle). ♦ [Le suj. désigne un cheval] Appuyer la tête au mur, et, p. ell., appuyer. Progresser obliquement par rapport à l'axe de son corps, la tête tournée dans la direction suivie : 9. Il essaya de faire décrire une volte à son cheval, mais le comte Caradec, rouillé sur le manège, n'appuya qu'avec roideur; il voulut lui faire prendre le trot, mais le comte Caradec partit en boitant. Alors, il le remit au pas, et tout lui sembla plus triste encore.
A. de Châteaubriant, Monsieur des Lourdines,1911, p. 189. II.− Emploi intrans. [Le suj. désigne une partie du corps, et p. méton. une pers.] A.− [L'idée dominante est celle de la recherche d'un support] 1. Se servir d'un support, d'un soutien matériel pour garder son équilibre : 10. Des vieilles se hâtaient à petits pas cassés, une main à la hanche, l'autre appuyant sur un bâton; ...
H. Pourrat, Gaspard des montagnes,Le Château des sept portes, 1922, p. 112. 2. P. méton., MAR., ARMÉE (tactique). Prendre une direction en se servant d'un repère visuel (exprimé par l'objet indirect). Appuyer sur la droite, sur la gauche. − P. ext. Se diriger vers. Appuyer à droite, à gauche : 11. Le patron du coutre remarqua la vitesse de la Durande. Il lui sembla aussi qu'elle n'était pas dans la route exacte. Elle lui parut trop appuyer à l'ouest. Ce navire à toute vapeur dans le brouillard l'étonna.
Hugo, Les Travailleurs de la mer,1866, p. 202. 12. Prenez la rue que vous voyez là, tournez par la deuxième à gauche; ensuite vous prenez la première à droite, vous marchez cent mètres, vous appuyez à gauche, et vous y êtes.
J. Romains, Les Copains,1913, p. 153. Rem. Dans le lang. de la mar., la tournure s'explique par la manœuvre matérielle du timonier; p. méton., elle s'emploie pour le bateau. Le passage de la prép. sur à la prép. à indique un plus haut degré d'abstraction, l'idée de repère disparaissant. B.− [L'idée dominante est celle d'une pesée qui s'exerce sur qqc. dont on peut modifier la position] 1. Exercer une pesée sur quelque chose. − [Le suj. désigne une partie du corps humain] :
13. Olivier, avec un soupir, vint s'asseoir au piano, et, docile à la volonté de l'impérieux ami qui l'avait choisi, il commença, après une longue incertitude, à jouer le bel Adagio en si mineur de Mozart. D'abord, ses doigts tremblaient et n'avaient pas la force d'appuyer sur les touches; puis, peu à peu, il s'enhardit; et, croyant ne faire que répéter les paroles de Mozart, il dévoila, sans le savoir, son cœur.
R. Rolland, Jean-Christophe,Dans la maison, 1909, p. 934. − P. méton. [Le suj. désigne une pers. agissant à l'aide d'une partie de son corps] :
14. Henri reconnut Anne et ralentit : − Vous montez? Je vous dépose. − Merci. J'ai envie de marcher, dit-elle. Elle lui fit un petit signe amical et il appuya sur l'accélérateur : il avait vu des larmes dans ses yeux.
S. de Beauvoir, Les Mandarins,1954, p. 368. 2. P. méton., au fig. [Le suj. désigne une pers. comparée à un élément exerçant une pesée] Mettre l'accent sur. a) [Un élément du langage, une note de musique] :
15. Ce terme, [appoggiature] (...) donne lieu à deux interprétations [en musique] : l'appoggiature expressive qui occupe momentanément la place de la note principale et sur laquelle l'exécutant doit appuyer, ...
H. Reber, Traité d'harmonie,1949, p. 177. b) [Un trait de caractère, un comportement] :
16. J'ai été personnellement bien heureux pour vous de vous savoir envoyé à Blaye, et politiquement satisfait d'y savoir un homme d'honneur et de probité. C'est ce que j'ai dit à bien des personnes, et j'ai saisi cette occasion de parler de vous avec beaucoup de plaisir, puisqu'elle me donnait licence d'appuyer sur vos qualités.
Balzac, Correspondance,1833, p. 294. − Emploi abs. Mettre en relief dans le langage un élément important d'une situation : 17. ... peut-être n'eût-il pas aimé cette jeune personne; mais des trois cents invités qui se pressaient dans les beaux salons de la rue Saint-Lazare, il fut le seul à comprendre l'amour inédit que trahissait une danse bavarde. On remarqua bien la manière d'Isaure d'Aldrigger; mais, dans ce siècle où chacun s'écrie : Glissons, n'appuyons pas! l'un dit : Voilà une jeune fille qui danse fameusement bien (c'était un clerc de notaire); l'autre : Voilà une jeune personne qui danse à ravir (c'était une dame en turban); la troisième, une femme de trente ans : Voilà une petite personne qui ne danse pas mal!
Balzac, La Maison Nucingen,1838, p. 613. Rem. Il y a une grande ressemblance entre l'emploi dit intrans. et l'emploi pronom. A. Cependant l'idée de soutien moral ou intellectuel est incompatible avec l'emploi intrans. (On ne peut pas dire : pour soutenir sa thèse, il appuie sur des arguments solides, alors que s'appuie est usuel); d'autre part l'idée que le point d'appui puisse céder à la pesée (au sens phys. ou au fig.) est incompatible avec l'emploi réfl. (on ne peut pas dire : il s'appuie sur la pédale du piano, alors que appuie est normal dans une telle phrase). L'oppos. fondamentale semble consister en ce que dans l'emploi intrans. il s'agit toujours, dans la réalité référée, de l'appui d'une partie de la pers. (le suj. désigne son corps, une partie de son corps : main, pied, etc., son esprit, son langage, etc.) même si p. méton. c'est la totalité de la pers. qui est exprimée, tandis que dans l'emploi pronom. A, il s'agit toujours, dans la réalité référée, de la pers. prise dans sa totalité. Pratiquement, on peut dire que dans l'emploi intrans. B, ce qui était obj. dans l'emploi trans. devient suj. (j'appuie la main sur les touches, le pied sur la pédale → la main, le pied appuie); de là on passe p. méton. aux emplois fig. Les opérations sont comparables pour les emplois intrans. A 1 et A 2. III.− Emploi pronom. A.− [Le pronom réfl. est compl. d'obj. dir.; l'obj. secondaire est gén. exprimé] Se soutenir, en s'aidant d'un objet matériel. S'appuyer sur, à : 18. Nendaz se lève, Nendaz s'appuie sur sa canne, il sort sur le perron, il descend l'escalier.
Ch.-F. Ramuz, Derborence,1934, p. 228. − P. métaph. Se servir d'une protection naturelle comme d'un soutien : 19. Toulouse s'est appuyée à une rampe de collines, lambeau épargné par hasard dans les déblaiements du fleuve.
P. Vidal de La Blache, Tabl. de la géogr. de la France,1908, p. 363. ♦ MILIT. (techn.). Bénéficier de l'aide de quelqu'un : 20. Il faut ajouter que les Américains, qui nous procuraient l'armement et l'équipement, y mettaient la condition que nous adoptions leurs propres règles d'organisation (...). Pour eux, la vie et l'action des unités combattantes devaient s'appuyer sur des arrières richement pourvus.
De Gaulle, Mémoires de guerre,1956, p. 246. − Au fig. Se servir de quelqu'un ou de quelque chose comme d'un soutien matériel, intellectuel ou moral : 21. Je m'approchai de vous, je pris votre main et vous murmurai quelques mots d'espérance à l'oreille. Je ne sais si ma voix vous parut éloquente alors et si elle trouva le chemin de votre âme, mais vous vous levâtes soudain et vous vous appuyâtes sur moi comme sur un protecteur.
Ponson du Terrail, Rocambole,t. 1, L'Héritage mystérieux, 1859, p. 35. 22. « Que voulez-vous, me répondait-il, la physiologie n'est pas une science exactement définie; elle s'appuie, pour expliquer les phénomènes vitaux, tantôt sur la physique, tantôt sur la chimie, tantôt sur des hypothèses telles que celles de la force vitale... »
C. Bernard, Principes de méd. exp.,1878, p. 91. B.− Pop. [Le pronom réfl. est compl. d'obj. secondaire indir.; le compl. d'obj. dir. désigne une chose, plus rarement une pers.] 1. [L'obj. désigne une tâche] S'appuyer qqc.Accomplir à contre-cœur une tâche obligatoire : 23. « Ah! Y en a qui disent qu'à la cuistance, on est embusqué »! ... Eh bien, il aimerait cent mille fois mieux, quant à lui, être avec la compagnie dans les tranchées pour la garde et les travaux, que de s'appuyer un pareil métier deux fois par jour pendant la nuit!
Barbusse, Le Feu,1916, p. 28. − P. ext. S'appuyer qqn.Etre obligé de prendre quelqu'un en charge malgré soi : 24. Ça, édicte Brague, c'est une gosse qu'on collera dans la figuration. Une de plus, une de moins... elle gagnera toujours ses quarante sous... quoique j'aime pas beaucoup m'appuyer des laissés-pour-compte...
Colette, L'Envers du music-hall,1913, p. 203. 2. [Le compl. désigne des aliments ou des boissons] Consommer en quantité généralement importante. S'appuyer un bon gueuleton, quelques verres de gniole : 25. Nous bouffions à la grande tambouille! ... On s'appuyait des soupes énormes! ...
Céline, Mort à crédit,1936, p. 597. Rem. L'idée fondamentale semble être celle d'une charge qu'on place et qui pèse sur les épaules (sens 1); de là, p. iron. et antiphrase l'idée de se charger [l'estomac] d'aliments ou de boissons pour soutenir ses forces (sens 2). Le pronom réfl. indir. indique la victime ou le bénéficiaire de l'opération. PRONONC. ET ORTH. − 1. Forme phon. : [apɥije], j'appuie [ʒapɥi]. Enq. : /apɥi/. (il) appuie. 2. Forme graph. − ,,Les verbes en (...) uyer changent y en i devant un e muet [s'appuyer, tu t'appuieras]. En revanche, ils conservent cet y de leur rad. devant les finales -ions et -iez de l'imp. de l'ind. et du prés. du subj. [que vous vous appuyiez, nous nous appuyions].`` (Cf. Ortho-vert 1966, p. 587; cf. aussi aboyer). 3. Hist. − Fér. 1768 et Fér. Crit. t. 1 1787 transcrivent : apu-yé. Fouché Phonét. 1952, p. 771 écrit à ce sujet : ,,Dans fuyant, bruyant, appuyer, ennuyer, essuyer, etc., on avait à l'origine un groupe -ü/y [= y/j] (...). Il faut admettre qu'elles [ces formes] ont été refaites sur fuit, bruit, appui ~ appuie, ennui ~ ennuie, essuie, etc. (...) il y a eu plus exactement un compromis entre les deux phonétismes. Dans appuyer [= apwiye], par exemple, le groupe wi [= ɥi] est analogique de appui ~ appuie, mais le y continue l'ancien y du v. fr. [apüyer].`` Fouché (ibid., p. 772) ajoute que : ,,appuyer, ennuyer, essuyer, fuyant, bruyant, etc., ne se prononcent déjà plus chez les grammairiens du xviesiècle qu'avec -wi/y [= -ɥij].`` Mais Fér. 1768 et Fér. Crit. t. 1 1787 transcrivent encore : [-y/j]. Fér. Crit. t. 1 1787 propose en outre la graph. apuyer avec un seul p (même prop. pour tous les mots de la famille). ÉTYMOL. ET HIST.
A.− « Faire supporter, soutenir par qqc. » 1. sens propre ca 1100 pronom. (Roland, 500 ds Gdf. Compl. : Vint s'apuier suz le pin a la tige); 2. sens fig. 1174 trans. (G. de Pont-Ste-Maxence, St Thomas, 5525, éd. C. Hippeau ds T.-L. : a deu ot del tut sun corage apuié); 1671 « s'aider de qqc. » (Pomey, Le Dict. royal augmenté, Lyon : ... J'appuye toutes mes esperances sur vôtre crédit); 1672 pronom. s'appuyer de qqn « demander l'appui de qqn » (Mmede La Fayette, Princesse de Clèves, Paris, éd. Cazes, [1934] : La division des deux freres donna la pensée à la duchesse d'Etampes de s'appuyer de M. le duc d'Orléans pour la soutenir auprès du roi contre madame de Valentinois).
B.− « Faire peser qqc. » 1. sens propre a) début xiies. trans. apoier un cop « donner un coup » (Couronnement Louis, éd. Jonckbloet, 2592 ds T.-L. : Grant cop li done sor son elme vergié; Desus l'espaule a le cop apoié, Desi el piz l'a fendu et tranchié); b) 1694 intrans. man. (Ac. : ... On dit qu'un cheval appuye sur le mord, pour dire, qu'Il pese à la main); c) 1771 mus. (Trév. : ... En musique appuyer sur une note, c'est y demeurer long-temps); d) 1835 p. ext. (Ac. : ... Appuyer sur la droite, sur la gauche, ou appuyer à droite, à gauche. Se porter vers la droite, vers la gauche); 2. sens fig. 1639 intrans. (Voiture, Lettres, à MmeLa Princesse ds Dict. hist. Ac. fr. t. 3, p. 531 : Je vous assure que j'ay une raison fondamentale de ne bouger d'icy, sur laquelle je n'ose appuyer).
C.− « Soutenir à l'aide de qqc. » 1. sens propre av. 1250 trans. (Huon de Cambrai, Regrets N.D., éd. A. Langfors, 250, 5 ds T.-L. : sa maison... Qui de deus pars iere apoïe Por ce qu'a terre ne caïst); 1375 p. anal. appuyer un chien « flatter de la voix » (Livres du Roy Modus et de la Royne Ratio, éd. G. Tilander, Paris, 1932, t. 1, p. 25); 2. sens fig. 3equart du xiiies. « aider » (Richard le Beau, éd. W. Foerster, 2700 ds T.-L. : nus ne me puet apoiier Que mors ne soie u retenus); av. 1680 « favoriser » (Patru ds Rich. : Apuier les prétensions, ou le droit de quelqu'un).
Empr. au lat. médiév. appodiare (formé à partir du lat. class. podium « plate-forme autour de l'arène de l'amphithéâtre » et aussi « console » et « petite éminence »), attesté au sens propre de « soutenir » (1114-15, Rudolfus abb. Trudonensis, Gest., 9, 33 ds Mittellat. W. s.v., 802, 68); au fig. (1226-37, Caesarius Heisterbacensis, Hom., IV, p. 77a, ibid., 802, 66); à rapprocher de l'ital. appoggiare (appoggiature*). STAT. − Fréq. abs. littér. : 4 993. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 7 185, b) 8 049; xxes. : a) 5 971, b) 7 197. BBG. − Barber. 1969. − Baudr. Chasses 1834. − Burn. 1970. − Canada 1930. − France 1907. − Giteau 1970. − Gottsch. Redens. 1930, p. 22, 263, 339. − Goug. Mots t. 2 1966, p. 119. − Gramm. t. 1 1789. − Gruss 1952. − Jal 1848. − Larch. 1880. − La Rue 1954. − Le Clère 1960. − Le Roux 1752. − Mar. Lex. 1933. − Mar. Lex. 1961 [1951]. − Mat. Louis-Philippe 1951, p. 148. − Noter-Léc. 1912. − Pierreh. Suppl. 1926. − Sandry-Carr. 1963. − Sandry-Carr. Th. 1963. − Spr. 1967. − Springh. 1962. − Will. 1831. |