| * Dans l'article "HIPP(O)-,(HIPP-, HIPPO-), élém. formant" HIPP(O)-,(HIPP-, HIPPO-) élém. formant Élém. issu du gr. ι
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ς « cheval », entrant dans la constr. de nombreux termes, subst. pour la plupart, dans des domaines didact. notamment; le second élém. est le plus souvent tiré du grec. A. − Hipp(o) + 2eélém. non autonome, d'orig. gr.V. hippolithe, hippologie, hippophagie et aussi : hippanthrope , subst. masc., myth. gréco-romaine. Synon. de centaure.Les vieilles épopées orphiques racontant les hommes-chevaux, les antiques hippanthropes, ces titans à face humaine et à poitrail équestre (Hugo, Misér., t. 1, 1862, p. 396). Hippanthropie , subst. fém.« Maladie dans laquelle on se croit métamorphosé en cheval » (Ac. Compl. 1842) hippocastanacées (du gr. κ
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α « châtaigne »), subst. fém. plur.« Famille de plantes dont fait partie le marronnier d'Inde, qui ont des fruits en capsules coriaces, plus ou moins couvertes de pointes » (Bot., 1960, p. 1018 [Encyclop. de la Pléiade]). L'ordre des Sapindales est surtout représenté chez nous par la famille des Hippocastanacées (Bot., 1960, p. 1018 [Encyclop. de la Pléiade]). hippomancie , subst. fém., antiq. gr. « Divination par le hennissement et les mouvements des chevaux sacrés ». Les Celtes et les Scythes pratiquaient l'hippomancie (Ac. Compl. 1842) hippotechnie , subst. fém.« Art de l'élevage, de l'exploitation, du dressage des chevaux ». (Ds Lar. 19eSuppl. 1878-Lar. Lang. fr., Guérin 1892, Quillet 1965, Lexis 1975) hippotigris (-tigris, du gr. τ
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ς « tigre »), subst. masc.« Équidé à robe tigrée ». Le zèbre est un hippotigris (Rob. Suppl. 1970, ds Lar. 20e-Lar. Lang. fr., Quillet 1965, Lexis 1975) hippotomie , subst. fém.« Anatomie du cheval » (Littré). Hippotomiste , subst. masc.« Celui qui étudie l'anatomie du cheval ». Le bord de leur ouverture [des narines] seulement renferme un cartilage dans le cheval. Ce cartilage, nommé semi-lunaire par les hippotomistes (Cuvier, Anat. comp., t. 2, 1805, p. 662) B. − Hippo- + subst. ou adj. autonome. V. hippomobile et aussi : hippocolle , subst. fém.La colle faite avec la peau du cheval a pris le nom magnifique d'hippocolle (Gourmont, Esthét. lang. fr.,1899, p. 55) hipposandale , subst. fém., antiq. gréco-romaine. « Chaussure pour les chevaux ». (Ds Littré, Guérin 1892, Lar. 20e). Rem. Très vivant en gr. ι
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π(ο)- est entré dans la formation de nombreux termes, dont plusieurs sont passés en fr. souvent par l'intermédiaire du lat. a) Termes empr. au gr.
α) Hipparchie (gr. ι
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α « unité de cavalerie »), subst. fém., antiq. gr., art milit. « Unité de cavalerie grecque comprenant environ cinq cents hommes ». Chef d'une hipparchie. (Ds Raymond 1832, Boiste 1834, Littré, Lexis 1975).
β) Hipparion (gr. ι
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ν « petit cheval, jeune cheval »), subst. masc., paléont. « Ancêtre des chevaux actuels qui vivait à la fin du tertiaire et au début du quaternaire ». L'hipparion, pachyderme à doigts impairs qui ne différe plus guère du cheval que parce qu'il a encore deux doigts latéraux rudimentaires à côté du doigt médian principal, le seul qui s'appuie sur le sol (Boule, Conf. géol., 1907, p. 157).
γ) Hipparque (gr. ι
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ς « commandant de cavalerie »), subst. masc., antiq. gr., art milit. « Chef d'une hipparchie ». À Denis, hipparque des hommes (...) de la part d'Osoroéris, fils d'Horus (Goncourt, Journal, 1891, p. 135).
δ) Hippiatre*.
ε) Hippique*.
ζ) Hippobosque (gr. ι
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ς « celui qui élève des chevaux »), subst. masc. « Mouche plate et grise, nuisible aux chevaux dont elle suce le sang ». Dans les hippobosques, la trompe est presque réduite à rien, et la soie unique est longue et flexible (Cuvier, Anat. comp., t. 3, 1805, p. 350). b) Termes empr. au gr. par le lat.
α) Hippocampe*.
β) Hippocentaure (lat. hippocentaurus, gr. ι
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ς), subst. masc., myth. gréco-romaine. Synon. de centaure. Je te ferai monter sur les licornes, sur les dragons, sur les hippocentaures et les dauphins! (Flaub., Tentation, 1874, p. 113).
γ) Hippocrène (lat. hippocrene, gr. Ι
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η), subst. fém., myth. gréco-romaine. « Fontaine qui aurait jailli d'un coup de sabot de Pégase, au flanc de l'Hélicon ». L'hippocrène est de l'eau; donc, le beau, c'est le sobre (Hugo, Contempl., t. 1, 1856, p. 151). En appos. Ses vers par la main des sœurs de Melpomène Sont trempés dans les fleurs et dans l'onde hippocrène (Chénier, Bucoliques, 1794, p. 75).
δ) Hippodrome*.
ε) Hippopotame*. c) Terme empr. au lat. sc. Hippotrague (lat. hippotragus, gr. τ
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ς « bouc »), subst. masc., didact. « Antilope chevaline ». Jean et Christiane (...) suivirent les hippotragues (...) qui prenaient leur galop à la vitesse de la voiture (Vialar, Homme de chasse, 1961, p. 302). Prononc. : [ipo-], [-ɔ] en position inaccentuée. Bbg. Cohen (M.). Zebra, zecora, hippotigris. Romania. 1955, t. 76, pp. 145-182. - Quem. DDL t. 9 (s.v. hipparion), t. 17 (s.v. hippotigris). |