ÉLECTRUM, subst. masc.
Étymol. et Hist. Ca 1200
electres (
Greg. Ez. 16, 41 ds T.-L.); av. 1502 [
electron?] (Oct. de St Gelais d'apr.
A. Humpers,
Étude sur la langue de J. Lemaire de Belges, p. 119); av. 1530
électron (Lefèvre d'Etaples,
Delb. Rec. ds
DG); 1549
electrum (Trad. de
Bullinger,
Source d'erreur, II, 11, p. 646 ds
Hug.). Empr. au lat. impérial
electrum (gr. η
́
λ
ε
κ
τ
ρ
ο
ν) « ambre » (d'où av. 1150 l'a. fr.
électre « ambre »
Marb.,
Lap., 133 ds T.-L.) ce métal rappelant la couleur jaune de l'ambre; les formes
electre, electron sont des essais de francisation.