| TINTINNABULER, verbe intrans. Étymol. et Hist. 1840 part. prés. (Balzac, P. Grassou, p. 449: un paquet de breloques tintinnabulant). Dér. du lat. tintinnabulum « espèce de crécelle en métal, grelot, clochette », dér. de tintinnare « tinter », de tinnire « id. » (v. tinter1); on trouve en m. fr. la forme tintinnabule « sonnette » (1477, Molinet, Le naufrage de la Pucelle ds N. Dupire, J. Molinet, vie, œuvres, p. 284), directement empr. du latin. |