| COUSIN1, INE, subst. Étymol. et Hist. Ca 1100 cusin (Roland, éd. J. Bédier, 173); ca 1150 cosin germain (Thèbes, éd. L. Constans, 2737); ca 1170 cosine germainne (Chr. de Troyes, Erec, éd. M. Roques, 1341). Du lat. class. consobrinus « cousin germain du côté maternel » puis « cousin germain (en général) par l'intermédiaire d'une forme abrégée » *co(n)sinus, prob. du langage enfantin (FEW t. 2, p. 1075). |