| BELLÂTRE, subst. et adj. ÉTYMOL. ET HIST. − 1. 1546 « de quelque beauté » (Rabelais, Le Tiers Livre, éd. Marty-Laveaux, t. 2, p. 122 : les lacquais de court par les degrez, entre les huys, fabouloient sa femme à plaisir, laquelle estoit assez bellastre), attest. isolée; 2. 1740 (Ac. : Bellâtre. Qui a un faux air de beauté, une beauté mêlée de fadeur).
Dér. de bel*; suff. -âtre*. |