ARILLE, subst. masc.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. 1808 (
Boiste :
arille [a] partie charnue d'un fruit, distincte du péricarpe; [b] extension du cordon ombilical);
cf. aussi
Nysten 1814;
2. 1814 (
Nysten :
Arille. D'autres donnent à ce mot une acception plus étendue, et l'appliquent tantôt à la paroi interne du péricarpe, comme dans la froxinelle; tantôt au tégument propre de la graine, comme dans le café).
Empr. au lat. médiév.
arillus « pépin de raisin »
xiies.,
Bernardus Provincialis,
Comm., 5, 2, p. 286, 43 ds
Mittellat. W. s.v., 950, 15.