| RUPTEUR, subst. masc. Étymol. et Hist. 1903 (R. gén. des sc., t. 14, p. 941). Dér. de rompre*, d'apr. rupture (cf. étincelle de rupture 1902, Turpain, Applic. prat. ondes électr., p. 85), peut-être par empr. au lat. ruptor « celui qui rompt, qui trouble, violateur » déjà empr. déb. xvies. (Rupteur de la paix publique, Fossetier, Cron. Marg., ms. Brux. 10510, f o78 r ods Gdf.). |