ÉCROU1, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. Fin du
xiiies.
escroe fém. (
Fr. II de Hohenstaufen,
Traité de fauconnerie ds
Z. rom. Philol., t. 46, 1926, p. 286,
s.v. tornatil); rare av. le
xvies.; 1542
escroue (
Amadis, III, 6 ds
Hug.) − 1752
écroue (Trév.);
2. 1409-10
acrous [masc.?] (
Compt. de l'H.-D. d'Orl. ds
Gdf. Compl.), forme isolée; 1567
écrou (
Plantin,
Dialogues françoys ds
IGLF). Du lat.
scrofa « truie », qui a dû prendre en b. lat., par une comparaison vulg., le sens d'« écrou » (
cf. aussi le
Polyptique de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés, éd. A. Longnon, t. 2, p. 199 et t. 1, p. 64, note 7, p. 152, note 1).