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ÉPAMPRAGE, subst. masc.
VITIC. Action d'épamprer la vigne. Les tailles en vert (...) comprennent l'ébourgeonnement et l'épamprage, le pincement et l'écimage, l'effeuillage (Brunet, Matér. Vitic.,1909, p. 20):
L'ébourgeonnage ou épamprage par lequel on retranche, une ou deux fois dans le courant de la végétation, les pousses inutiles, est assurément l'opération en vert la plus fréquente et la moins discutable. Levadoux, La Vigne et ses cult.,1961, p. 57.
Rem. On rencontre ds la docum. le synon. épamprement, subst. masc. Action d'épamprer la vigne. Au moment où l'on fait le cisellement, on doit appliquer un premier épamprement ou suppression de feuilles (Du Breuil, Cult. arbres, 1876, p. 533).
Prononc. et Orth. : [epɑ ̃pʀa:ʒ]. Ds Ac. 1878 et 1932. Étymol. et Hist. 1845 (Besch. Suppl.). Dér. du rad. de épamprer*; suff. -age*.