| VOLIGER, verbe trans. BÂT. Garnir (un toit, une toiture) de voliges. (Dict. xixeet xxes.). Prononc.: [vɔliʒe], (il) volige [-li:ʒ]. Étymol. et Hist. 1845-46 (Besch.). Dér. de volige*; dés. -er. DÉR. Voligeage, subst. masc.,bât. Action de voliger un toit; p. méton., ,,aire composée par des voliges clouées sur les chevrons d'une toiture, et destinée à supporter une couverture en ardoises, en métal ou en tuiles`` (Industries 1986). Il arrive qu'on pose l'ardoise sur voligeage jointif mais ce ne doit être que dans des cas particuliers, la circulation d'air sous le toit étant nécessaire pour y faire évaporer la condensation (Bourde, Trav. publ., 1928, p. 138).− [vɔliʒa:ʒ]. − 1resattest. a) 1845-46 « action de voliger » (Besch.), b) 1845-46 « ensemble des voliges » (ibid., citant Gourlier, s. réf.); de voliger, suff. -age*. |