| * Dans l'article "VICE-CONSUL,, subst. masc." VICE-CONSUL, subst. masc. Celui qui seconde le consul; celui qui, dans une résidence où il n'y a pas de consul, en remplit les fonctions. Vice-consul d'Espagne, de France à Saïda. La France n'est représentée que par des vice-consuls dans plusieurs villes étrangères (Ac.1878).V. prêter I B 1 d ex. de Larbaud.Prononc. et Orth.: [viskɔ
̃syl]. Att. ds Ac. dep. 1718. Étymol. et Hist. 1567 viceconsul « proconsul » (Amyot, Marcellus, 24 ds Hug.); 1591 Visconsul « celui qui seconde le consul » (Liquidation des dettes de N. Borrilly in P. Grandchamp, La France en Tunisie à la fin du XVIes. [1582-1600], Tunis, 1920, 114 ds R. Ling. rom. t. 41, p. 424); 1598 Vice-consul de France (J. de Villamont, Voy., livre 3, ch. 8, 536 ds Quem. DDL t. 10). Comp. de l'élém. formant vice-* et de consul*. Fréq. abs. littér.: 14. DÉR. Vice-consulat, subst. masc.a) Fonction de vice-consul; durée de cette fonction. Exercer le vice-consulat. Giraudoux me conseille beaucoup le vice-consulat. Pour d'autres raisons (santé, culture) j'accepte en principe (Alain-Fournier, Corresp.[avec Rivière], 1910, p. 213).b) Bâtiment, bureaux, résidence du vice-consul. (Ds Raymond 1832, dict. xxes.). − [viskɔ
̃syla]. Att. ds Ac. dep. 1718. − 1resattest. a) 1718 « fonction de vice-consul » (Ac.), b) 1832 « résidence du vice-consul » (Raymond); de vice-consul d'apr. consulat*. BBG. − Quem. DDL t. 18. |