| TROUSSER, verbe trans. I. − Empl. trans. A. − Vieilli ou littér. 1. Assembler, fixer ensemble. Trousser du foin, du fourrage; trousser un paquet, un bagage. Un matin les gendarmes venaient dire qu'on était de la réquisition: il fallait trousser son paquet et suivre les autres recrues (Pourrat, Gaspard, 1922, p. 221). ♦ Trousser bagage* (vx). − ART CULIN. Replier les membres d'une volaille pour les maintenir au corps, ficeler une pièce de viande pour qu'elle conserve sa forme à la cuisson. Synon. apprêter, brider.Trousser en long, en ballon. La bonne avait épluché ses légumes pour le ragoût, plumé et troussé un canard (Zola, Joie de vivre, 1884, p. 1111). 2. P. ext. Trousser dans.Emballer, empaqueter dans. Trousser dans un vieux journal une bouteille de vin pour sa belle-sœur (Jammes, Mém., 1922, p. 124). − Part. passé avec valeur adj. [En parlant d'une pers.] Enveloppé dans (un vêtement). Troussée dans un châle. Elle est là, depuis le commencement de la récréation, troussée dans sa capeline noire (Jammes, Rom. du lièvre, Cl. d'Elléb., 1899, p. 135). B. − Vieilli ou littér. 1. Replier, relever, ramener vers le haut le bas d'un vêtement. Synon. retrousser.Trousser ses jupes, son cotillon, son pantalon, sa robe, sa soutane. Tout à coup, elle troussa haut sa chemise, s'assit sur la chaise (Boylesve, Leçon d'amour, 1902, p. 79).Il releva la ceinture de son pantalon de gros velours, tel un homme qui va se mettre à l'ouvrage, et troussa ses manches (Van der Meersch, Empreinte dieu, 1936, p. 126).Empl. pronom. réfl. indir. Se trousser les manches. Se plaignant du froid, et combien il était précoce, cette année, elle se posta devant le feu, en se troussant quelque peu les jupes (Bourges, Crépusc. dieux, 1884, p. 211). − Qqc. trousse qqc.Voisine, à qui en avez-vous? À ce vent polisson qui vous trousse les cottes? (Rolland, C. Breugnon, 1919, p. 26). − [P. méton. de l'obj.] Trousser qqn.Les marmots pullulaient dans leurs jambes, des marmots dont la gourme s'écaillait, des marmots que les mères troussaient le long de l'avenue (Huysmans, Sœurs Vatard, 1879, p. 89). 2. a) Posséder sexuellement une femme. Remonte-moi, Clotaire, que le fricot va brûler. Non que je te dis. Je m'en vas trousser la fille au Birot, j'y ai promis (Aymé, Puits, 1932, p. 13): ... Buteau, déjà, avait empoigné la fille sous la jupe, à pleine main. Son enragement tournait toujours en un coup brusque de désir. Tandis qu'il la troussait sur l'herbe, il grognait, étranglé, la face bleuie et gonflée de sang.
Zola, Terre, 1887, p. 315. b) [Avec un compl. plur. ayant gén. une connotation péj.] Courir les femmes, le jupon. Trousser les servantes, les gardeuses d'oies. Je ne sais pas si, comme le prétend madame, monsieur trousse les petites filles dans la campagne... Quand cela serait, il n'aurait pas tort, si tel est son plaisir... (Mirbeau, Journal femme ch., 1900, p. 109).L'Oberleutnant Steinbauer et l'Oberfeldwebel Hennig, dont l'un troussait à longueur de journée les employées de la Reichsbahn qu'il ramassait au hasard des haltes, sous l'œil intéressé de l'autre (Ambrière, Gdes vac., 1946, p. 337). C. − 1. [Le compl. d'obj. désigne une partie du corps] a) Redresser, relever, ramener vers le haut par un mouvement réflexe. Trousser les babines; vache qui trousse la queue. Vous avez l'air d'une poule qui trousse ses plumes (Estaunié, Choses voient, 1913, p. 18).[L'inconnu] souriait encore, troussant sa lèvre en coin (Genevoix, Boîte à pêche, 1926, p. 188). ♦ Empl. pronom. Avec un rien, une déviation à peine sensible du nez qui se trousse imperceptiblement, la figure sculpturale se chiffonne (Huysmans, Art mod., 1883, p. 212). b) En partic. Relever, maintenir vers le haut avec la main ou avec une fixation. Le vendeur coupe d'un coup de couteau la paille qui troussait la queue de la bête, vache ou cheval, pour montrer qu'elle n'est plus à vendre (Menon, Lecotté, Vill. Fr., 2, 1954, p. 67). − ÉQUIT. ,,Nouer la queue du cheval, ou faire usage du trousse-queue`` (Lar. encyclop.). − Trousser sa moustache. [Napoléon III] trousse sa moustache en croc et la caresse (Hugo, Châtim., Paris, Hachette, 1932 [1853], p. 206). 2. SYLVIC. ,,Relever les branches ou les sarments, lorsqu'ils croissent trop bas, en les attachant autour du tronc ou d'un piquet`` (Fén. 1970). D. − 1. Vx. [Le suj. désigne une maladie] Faire mourir rapidement, expédier dans l'autre monde. Une maladie violente a troussé cet homme en deux jours (Ac.1798-1878). − P. ext., arg. Assassiner. Il n'y en a pas cher comme sézig pour trousser en cinq secs et sans faire de saletés (Bruant1901, p. 33). 2. Vieilli ou littér. a) Exécuter efficacement et promptement quelque chose. Elle était joliment forte, quoique pas plus grosse qu'une mauviette; elle vous troussait la besogne, fallait voir! (Zola, Page amour, 1878, p. 858). b) Exécuter avec rapidité, dextérité (une œuvre artistique). C'est la femme de Greuze, faite par Greuze (...). C'est de la chair palpitante, c'est la vie et il n'y a ni science, ni art; c'est troussé en deux heures, avec le reste de la palette (Balzac, Lettres Étr., t. 3, 1845, p. 51). c) En partic. Rédiger, composer avec aisance et/ou promptitude (un texte, une pièce de musique,...). Trousser une historiette, une anecdote, un compliment; trousser une ballade, la musique d'un ballet. Sans vouloir en faire un écrivain, il serait commode pour Victor de savoir trousser une lettre (Flaub., Bouvard, t. 2, 1880, p. 175).Cependant, n'est pas journaliste qui veut. Trousser un écho, rédiger une chronique, faire un article, c'est un art (Coston, A.B.C. journ., 1952, p. 95). E. − TECHNOLOGIE 1. FOND. ET LAMINAGE. Réaliser le moule ou le noyau d'une pièce de révolution par troussage. (Dict. xxes.). 2. MINES. Exécuter un troussage (Dict. xxes.). II. − Empl. pronom. réfl., vieilli A. − Relever ses jupes, ses vêtements souvent avec indécence. Se trousser jusqu'aux reins. Quand elle a été malade (...) elle montrait une facilité à se faire voir, à se trousser devant le monde, devant tout le monde, que c'était incroyable (Goncourt, Journal, 1869, p. 536). B. − P. euphém. Se soulager, faire ses besoins. Le seul inconvénient était de se déranger, une fille se levait de temps à autre, allait au fond, près de la pompe, se troussait, puis revenait (Zola, Germinal, 1885, p. 1271). III. − Empl. intrans. A. − ÉQUIT. [Le suj. désigne un cheval] Plier fortement ses antérieurs en marchant (d'apr. St-Riquier-Delp. 1975). [En concours hippique] Un cheval qui trousse, au saut d'un obstacle, plie bien ses antérieurs sous lui (TondraCheval1979). B. − FAUCONN. [Le suj. désigne l'autour] ,,Saisir le gibier par en dessous`` (Lar. encyclop.). REM. 1. Trousse-, élém. de compos.issu d'une forme du verbe trousser, entrant dans la constr. de qq. subst.V. trousse-galant et aussi:a) 2. Trousse-cotte, trousse-jupe(s),(trousse-jupe, trousse-jupes) trousse-jupon(s),(trousse-jupon, trousse-jupons) subst. masc.Homme qui trousse les femmes, coureur de jupons. Celui que j'aime, c'est Putouarey trousse-cotte, et Putouarey cœur-loyal (Larbaud, Barnabooth, 1913, p. 205).Ils ne s'embêtent pas dans leur coin! Lucie, méfie-toi du gars Denis: c'est un trousse-jupons comme on n'en fait plus! (Troyat, Les Semailles et les Moissons, t. 2, Amélie, Paris, Plon, 1956 [1955], p. 213).P. métaph. Ils l'appelaient contemplateur des demoiselles araignées et petit trousse-jupes de madame Philosophia (A. France, Puits ste Claire, 1895, p. 59). b) Trousse-pet, subst. masc.,trousse-pète, subst. fém.,vx, fam., péj. Petit garçon, petite fille; en partic., enfant qui fait l'important. (Dict. xixeet xxes.). Synon. morveux. c) Trousse-pied, subst. masc.Lien en cuir avec lequel on attache le pied d'un cheval pour lui ôter la faculté de frapper, de se déplacer. Les Belges pratiquent parfois leur examen sur l'animal ayant un pied tenu dans un trousse-pied (Brion, Jurispr. vétér., 1943, p. 249). d) Trousse-queue, subst. masc.Partie du harnais d'un cheval que l'on fait passer à la base de la queue pour la relever (d'apr. Fén. 1970). Troussoire, subst.a) Subst. fém., technol. ,,Pince d'émailleur`` (Havard 1890). b) Subst. masc. ou fém. ,,Agrafe destinée à relever un des pans des robes longues des dames`` (Gay t. 2 1928). Prononc. et Orth.: [tʀuse], (il) trousse [tʀus]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. Ca 1100 trusser, trosser « charger quelque chose (surtout sur une bête de somme); charger (une bête de somme, etc.) » (Roland, éd. J. Bédier, 130 et 701); ca 1215 trouser (Aymeri de Narbonne, 2242 ds T.-L.); 1225-30 trousser (Boeve de Haumtone, III, 4307, ibid.). 2. a) ca 1135 trosser « faire les bagages, mettre en paquet » (Couronnement St Louis, éd. Y. G. Lepage, rédaction AB, 277); ca 1210 trousser (Dolopathos, 34 ds T.-L.); b) mil. xves. trousser ses sacs et ses quilles « faire ses bagages pour s'en aller » (Ch. d'Orléans, Rondeau, LXXVII ds Poésies, éd. P. Champion, t. 2, p. 334); 1512 trousser tous ses bagages (Lemaire de Belges, Illustrations, éd. J. Stecher, II, 22, p. 217); 1567 trousser bagage (Amyot, Vies, Pompée, 12 ds Hug.); 3. a) déb. xives. trousser « relever (les vêtements) » (Ovide moralisé, Commentaire de Copenhague, éd. C. de Boer, t. 5, p. 408); 1424 toursser quelqu'un (surtout une femme) « relever les vêtements, les jupes de quelqu'un » (Arch. Nord B, 10384, fo28 rods IGLF Moy. Âge); 1456-67 trousser sa dame (Cent Nouvelles Nouvelles, éd. F. Sweetser, 61eNouv., 101); 1538 se trousser « relever son vêtement » (Est.); b) fin xives. trousser « relever » (Eustache Deschamps, Ballade ds
Œuvres, éd. Queux de Saint-Hilaire, t. 5, p. 49); 1547 queue troussée (d'un passereau) (Mellin de Saint-Gelais,
Œuvres, éd. Pr. Blanchemain, t. 1, p. 60); 1579 trousser la queue (des mots) (Estienne, Précellence du lang. fr., éd. E. Huguet, p. 45); 1583 trousser la queue (d'un cheval) (Colloquia cum dictionariolo sex linguarum ds Gdf.); c) 1558 « préparer, mettre en ordre » (Anc. Théâtre fr., éd. Viollet-le-Duc, t. 4, p. 151); d) 1721 trousser une volaille cuis. (Nouv. maison rustique t. 2, p. 647); 4. a) déb. xiiies. torser de « détrousser quelqu'un de quelque chose » (Raoul de Houdenc, Vengeance Raguidel, éd. M. Friedwagner, 1280); 1512 trousser « id. » (Lemaire de Belges, op. cit., II, 8, p. 75); b) ca 1450 trousser « emmener quelqu'un » (Arnoul Gréban, Mystère de la Passion, éd. O. Jodogne, 19076); 1567 trousser (qqn) « prendre de force, enlever » (Amyot, Vies, Antoine, 63 ds Hug.); c) 1456-67 trousser le compte court « dire un conte promptement » (Cent Nouvelles Nouvelles, 1reNouv., 66); 1604 trousser « conclure » (Fr. de Sales, Lettres, 234 (XII, 353) ds Hug.); 1616 trousser (un épigramme) « fabriquer vite » (D'Aubigné, Tragiques, éd. A. Garnier et J. Plattard, t. 2, p. 82, 1131); d) ca 1550 estre troussé « mourir en peu de temps » (Anc. Théâtre fr., t. 2, p. 191); 1594 estre troussé en male « id. » (Satyre Ménippée, Epitaphe du Chevalier d'Aumale, éd. Ch. Read, p. 304); e) 1611 trousser (un verre) « boire rapidement » (Cotgr.); 5. a) 1456-67 (tetin) bien troussé « bien fait » (Cent Nouvelles Nouvelles, 35eNouv., 131); 1616 troussé « paré (en parlant d'une femme) » (Comte de Cramail, Com. des Prov., III, 1 ds Livet Molière); 1640 bien troussé « bien fait, propre, bien ajusté (en parlant d'une personne) » (Oudin Curiositez); b) 1548 bien troussé (sujet d'une œuvre littér.) « fait lestement, de façon pimpante » (N. Du Fail, Baliverneries, éd. J. Assézat, p. 145); 1558 [éd.] bien trousser (une parole) « dire lestement sans bégayer » (Bonaventure des Périers, Nouvelles récréations et joyeux devis, éd. K. Kasprzyk, 45, 185); c) 1558 [éd.] nez troussé (Id., ibid., 48, 197). D'un lat. de basse époque *torsare, dér. de *torsus, var. de tortus, part. passé de torquere « tordre ». Fréq. abs. littér.: 52. DÉR. 1. Troussage, subst. masc.a) Art culin. Action de trousser une volaille. (Dict. xixeet xxes.). Synon. troussement.b) Métall. « Action de faire tourner le trousseau sur le sable dans le moulage au trousseau » (Peyroux Techn. Métiers 1985). Troussage de révolution; troussage au gabarit (Peyroux Techn. Métiers 1985). c) Mines. Garnissage destiné à éviter l'éboulement du charbon sur le côté d'une galerie. Les piqueurs établissent (...) un troussage avec des planches et des étais, afin d'éviter que le gonflement ne fasse éclater la houille en petits morceaux (Haton de La Goupillière, Exploitation mines, 1905, p. 711).− [tʀusa:ʒ]. − 1resattest. a) α) ca 1390 troussaige « chose dont on est chargé » (Jean d'Arras, Mélusine, éd. L. Stouff, p. 102),
β) 1465 « action de charger » (Compt. de l'aumosn. de S. Berthomé, fo114 ro, Bibl. La Rochelle ds Gdf., s.v. toursage), b) 1794-95 « garnissage qui soutient le plafond (terme des mines) » (Baillet, in Journ. des mines, no18, p. 4 ds Quem. DDL t. 28), c) 1876 « opération qui consiste à assujettir les membres d'une volaille ou d'une pièce de gibier avec de la ficelle de cuisine » (Lar. 19e), d) 1933 métall. « opération qui a pour objet, en fonderie, de réaliser un moule en sable » (Lar. 20e); de trousser, suff. -age*. 2. Troussement, subst. masc.a) Art culin. Action de trousser une volaille. Synon. troussage.Enfin une peinture en action du troussement, du flambement, du cuisinement d'un faisan à la géorgienne (Goncourt, Journal, 1896, p. 927).b) Le fait de se relever, de se redresser. La branche remonta dans la nuit avec un petit troussement d'aile (Giono, Batailles ds mont., 1937, p. 149).c) Au fig. Tournure, manière. Il trouva des images charnelles (...) des modelés troublants comme ceux des papiers bleus de Prudhon et des troussements de pensées semblables à des Rops parlés (Péladan, Vice supr., 1884, p. 42).− [tʀusmɑ
̃]. − 1resattest. 1884 troussements de pensées id., 1896 troussement d'un faisan (Goncourt, loc. cit.); de trousser, suff. -(e)ment2*. 3. Trousseur, subst. masc.a) Text. ,,Ouvrier spécialisé du finissage des tissus`` (Mét. 1955). Le fém. trousseuse est virtuel.b) Homme qui trousse (les jupons, les femmes). Synon. coureur (de filles, de jupons).Trousseur de filles, de bonnes, de servantes; trousseur de jupons, de cotillons. Il y a, même chez les trousseurs de jupons, chez les hommes les plus sensuellement frivoles et changeants, une femme (...) qui, de loin parfois, mais absolument, domine leur vie (Arnoux, Solde, 1958, p. 173).c) Celui qui exécute, qui fait quelque chose rapidement, avec dextérité. Les trousseurs de faux tableaux n'oublient pas d'imiter ces craquelures (Moreau-Vauthier, Peint., 1913, p. 281).− [tʀusœ:ʀ]. − 1reattest. 1879 trousseur de filles (Cladel, Ompdrailles, p. 103); de trousser, suff. -eur2*. 4. Troussière, subst. fém.a) Maçonn. Corde servant à réunir deux pièces d'un échafaudage. (Dict. xixeet xxes.). b) Équipement du cavalier servant à transporter des trousses de fourrage. La cavalerie avait une tente pour huit hommes, et tout ce qui convient aux cavaliers, cordes et piquets, troussières pour aller au fourrage (Erckm.-Chatr., Hist. paysan, t. 2, 1870, p. 49).− [tʀusjε:ʀ]. − 1resattest. 1470 troussière « corde servant à élever des fardeaux » (Arch. Nord, B 3539, fo60 ds IGLF), 1876 « corde avec laquelle on unit deux pièces d'un échafaud » (Lar. 19e); de trousser, suff. -ière*. 5. Troussis, subst. masc.,vx, cout. Pli fait à une jupe, à une robe pour la raccourcir. Synon. retroussis.Faire un troussis à une jupe (Ac.). Cette robe est trop longue, il faut y faire un troussis (Lar. 19e). − [tʀusi]. Att. ds Ac. dep. 1694. − 1reattest. 1611 (Cotgr.); de trousser, suff. -is*. BBG. − Bierbach 1982, pp. 400-401 (s.v. trousse-). − Quem. DDL t. 5. − Roques (M.). Romania. 1948, t. 70, pp. 127-128. − Tilander (G.). Trousser et trou, trognon. St. neophilol. 1943-44, t. 16, p. 185. |