| TRAMPOLINE, subst. masc. SPORTS. Dispositif formé d'une toile tendue et fixée par des ressorts d'acier à un cadre horizontal placé à une certaine hauteur du sol, sur lequel on effectue des figures acrobatiques en sautant et en rebondissant; p. méton., sport que l'on pratique sur cet appareil. « Trampoline ». Réservé aux moins de vingt-deux ans pour la compétition (Le Sauvage, janv. 1976, p. 71, col. 3).Poney-club, école d'escalade, initiation au tennis, artisanat, école de radio (...), promenades écologiques, trampoline, cinéma, etc. [à Avoriaz] (Le Nouvel Observateur, 22 mai 1978, p. 117).Rem. Pour Quillet Suppl. 1971 et Rob. 1985 le mot est du fém. REM. Trampoliniste, subst.Celui, celle qui pratique ce sport. Les trampolinistes exécutent des figures imposées et libres en utilisant l'effet de ressort du tapis (Tous les Sports, 1970ds Petiot 1982). Prononc. et Orth.: [tʀ
ɑ
̃pɔlin]. Quillet Suppl. 1971: trampolin, trampoline. Étymol. et Hist. 1961 (Encyclop. des sports, Paris, Larousse, p. 582a: trampolin ou trampoline). Prob. empr. à l'angl. trampolin(e), att. au sens de « tremplin » dep. 1799 (NED Suppl.2), au sens du fr. dep. 1928 (ibid.), et empr. à l'ital. trampolino « tremplin ». V. aussi tremplin. |