| * Dans l'article "TRAGUS,, subst. masc." TRAGUS, subst. masc. ANAT. ,,Petite saillie triangulaire de l'orifice externe du conduit auditif`` (Vignaud 1973). C'est sur-tout dans les chauve-souris que le tragus est développé, et qu'il prend des formes singulières (Cuvier, Anat. comp., t. 2, 1805, p. 518).Voyons les oreilles: description des bordures, du pavillon, du tragus, de l'hélix, du lobule, de la conque (H. Bazin, Tête contre murs, 1949, p. 147).Prononc.: [tʀagys]. Étymol. et Hist. 1751 (Encyclop. t. 1, s.v. antitragus). Latinisation du gr. τ
ρ
α
́
γ
ο
ς, terme d'anat. « partie de la cavité de l'oreille qui s'étend vers les tempes », évol. de sens de τ
ρ
α
́
γ
ο
ς « bouc ». DÉR. Tragien, -ienne, adj.Qui appartient au tragus. Muscle tragien. (Dict. xixeet xxes.). − [tʀaʒjε
̃], fém. [-jεn]. − 1reattest. 1765 anat. (Encyclop. t. 10, p. 887a, s.v. muscle); de tragus, suff. -ien*. |