| * Dans l'article "TIQUE,, subst. fém." TIQUE, subst. fém. ZOOL. Variété d'ixode, de l'ordre des Acariens, hématophage, parasite des Vertébrés, notamment des Ruminants, du chien et parfois de l'homme auxquels il peut transmettre diverses maladies à virus. Piqûre de tique; arracher, enlever une tique. Au Congo, dans l'Ouganda, dans l'Est-Africain, en Abyssinie et à Madagascar, une certaine tique, si elle a ingéré un virus déterminé et si elle vient à piquer l'homme, lui donne la fièvre récurrente africaine (Brunhes, Géogr. hum., 1942, p. 290).Dès 1929 Hauduroy remarquait que, dans le tube digestif d'une tique, certain spirochète perdait sa forme pour se résoudre en granules capables ensuite de régénérer l'organisme complet (P. Morand,Confins vie, 1955, p. 143).REM. Tiquet, subst. masc.,zool. Petit insecte vivant sur les végétaux. (Dict. xxes.). Synon. altise. Prononc. et Orth.: [tik]. Homon. tic. Att. ds Ac. dep. 1798. Étymol. et Hist. 1464 (Lagadeuc, Catholicon ds Gdf. Compl.). Prob. empr., pendant la Guerre de Cent Ans, au m. angl. tike « id. »; cf. angl. tick « id. », v. FEW t. 17, p. 329a. Fréq. abs. littér.: 13. |