| PINQUE, subst. fém. HIST. DE LA MAR. ,,Voilier de la Méditerranée, à trois mâts, à antennes, à poupe très élevée et à varangues plates, disparu vers 1840`` (Gruss 1952). Les gros navires et les galères se mêlent aux pinques, aux chaloupes et aux caïques dans les eaux de Constantinople (Chateaubr.,Mém., t.1, 1848, p.343).Les deux autres vaisseaux [espagnols] sont de moindre échantillon: une galiote et une pinque (La Varende,Tourville,1943, p.60).Prononc. et Orth.: [pε
̃:k]. Att. ds Ac. dep. 1762. Étymol. et Hist. 1637 (Dan, Hist. de Barbarie, Paris, 179 ds Fr. mod. t.26 1958, p.56). Empr. au néerl. pink, de même sens. Bbg. Boulan 1934, p.149. _Kemma 1901, pp.159-160. |