| * Dans l'article "OS1,, subst. masc." OS1, subst. masc. A. − ANAT. Élément de consistance dure et de couleur blanchâtre servant de soutien aux parties molles du corps de l'homme et des vertébrés (à l'exception de certains poissons). Les Mélanésiens et les Péruviens enlevaient avec beaucoup d'habileté les os fracturés du crâne afin de décongestionner le cerveau (Lowie,Anthropol. cult., trad. par E. Métraux, 1936, p.362): 1. Les os sont les éléments du squelette des Vertébrés. On les divise en os longs (...) os plats (crâne, thorax) et os courts (...). Dans les os plats et dans les os courts, il n'y a pas de canal médullaire.
Encyclop. Sc. Techn.t.81972, p.633b. SYNT. Os courts, longs, plats; os frontal, maxillaire; os sacrum; os pubis; l'os de la pommette; les os du bassin, du crâne, du nez; os pointus; avoir de petits, de gros os; fracture d'un os. − P. métaph. ou au fig. La Seine (...) longeait une grande côte onduleuse boisée en haut et montrant par places ses os de pierre blanche (Maupass.,Bel-Ami, 1885, p.220).Il n'y avait plus d'arbres et plus d'herbe, plus que de grands sillons, et les coteaux n'étaient que des os de craie, tout décharnés (Giono,Gd troupeau, 1931, p.121). B. − En partic. 1. a) [L'os dans ses utilisations; l'os provient d'un animal de boucherie] Blanquette, rôti avec ou sans os; chien qui ronge un os. Il avait dîné d'un os où il restait un peu de viande et d'un morceau de pain (Hugo,Misér., t.2, 1862, p.60).J'ai fait une soupe aux herbes avec une couenne de lard et un gros os de boeuf. Il n'y a rien qui embaume un potage comme un os à moelle (A. France,Dieux ont soif, 1912, p.66). − Os verts. ,,Os de boucherie traités par la cuisson et ayant perdu leur graisse et leur gélatine`` (Clém. Alim. 1978). − Loc. fig. ♦ Donner, (laisser) un os à ronger à qqn. Donner à quelqu'un une occupation qui l'absorbe afin de s'en débarrasser, de le détourner d'autre chose: 2. Ta jeunesse longue et ton calme inviolable feront la haine des yeux-cernés, si tu n'as pas soin de leur donner à l'occasion un os à ronger (par exemple, tous les dix-huit mois environ, tu pourras laisser entendre que tu as des ennuis d'argent).
Montherl.,Olymp., 1924, p.320. ♦ Jeter un os (à ronger) à qqn. Donner à quelqu'un un petit profit pour le satisfaire momentanément: 3. ... des âmes de domestiques, aplaties devant les titres, les galons, les décorations: pour les tenir, il n'y avait qu'à leur jeter en pâture un os à ronger, ou la légion d'honneur.
Rolland,J.-Chr., Foire, 1908, p.765. b) [L'os est utilisé, comme matière industrielle, à cause de sa composition] ♦ Noir d'os. Synon. de noir* animal.Les noirs d'os possèdent en général un reflet rougeâtre qu'on croit dû au phosphate de chaux qu'ils renferment (Manuel du fabricant de couleurs, t.2, 1884, p.201). ♦ [Os pulvérisés utilisés comme engrais] La poudre d'os constitue un très bon engrais phosphaté (Lar. agric.1981). c) [L'os est utilisé à cause de sa forme] Dans des calebasses ils mangent avec des os plats le riz couleur de ciment (Renard,Journal, 1895, p.287). d) [L'os est utilisé comme matériau] L'humanité a dû faire des centaines de millénaires d'apprentissage avant d'avoir son avenir bien en main. Pendant plus d'un demi-million d'années elle s'est contentée de perfectionner laborieusement la taille de ses outils de pierre, et l'utilisation de l'os et de l'ivoire lui a paru, sans doute, une nouveauté prodigieuse (P. Rousseau,Hist. transp., 1961, p.7). ♦ Subst. désignant un objet + d'os ou en os.Aiguille, outil d'os; flûte, poignard, manche de couteau en os. Laissant tomber brusquement un coupe-papier d'os sur le noyer du bureau (Daniel-Rops,Mort, 1934, p.181): 4. Lorsqu'une australienne avait à coudre, elle faisait un trou avec un poinçon en os et y passait au travers un fil en tendon d'opossum ou de kangourou. De même, une couturière Ona perce avec son alène en os deux bandes de cuir, puis, humectant un tendon, elle le pousse à travers le trou.
Lowie,Anthropol. cult., trad. par E. Métraux, 1936, p.362. 2. [À propos d'une pers.] a) [Dans des loc.] En chair* et en os; les os de mes os et la chair* de ma chair; n'avoir que la peau* sur les os; n'avoir que la peau* et les os. ♦ Sac à os, sac d'os (fam.). ,,Personne très maigre`` (Rey-Chantr. Expr. 1979). V. aussi paquet* d'os. ♦ P. ell. S'il ne l'a pas eue, il va l'avoir... Et il n'en aura pas l'étrenne, ah! non, il n'en aura pas l'étrenne (...). Il ajouta d'un air provocant: −Ceux qui aiment les os peuvent se la payer pour cent sous (Zola,Bonh. dames, 1883, p.667). ♦ Être tout en os. Avoir des os saillants. Il est maigre et tout en os comme un cep de vigne (Giono,Regain, 1930, p.104). ♦ Amener ses os (fam.). Venir (d'apr. Car. Argot 1977). − Ne pas faire de vieux os. Ne pas vivre longtemps. S'il guérit, ce ne sera pas pour faire de vieux os (Mérimée,Carmen, 1845, p.69).Je ne me vois pas faisant de vieux os! (Colette,Music-hall, 1913, p.63). − Ne pas donner cher des os de qqn. Estimer qu'il n'a pas longtemps à vivre. Synon. ne pas donner cher de la peau* de qqn: 5. ... si tu découvres cet autre-là, comme tu m'as découvert, un autre viendra, et un autre! et un autre! jusqu'à ce que ce Trébassof paie ses crimes! C'est tout ce que j'ai à te dire, Koupriane!... Quant à vous, mon petit, ajouta-t-il en se tournant vers Rouletabille, je ne donnerais pas cher de vos os! Nous ne valons guère mieux tous les deux.
G. Leroux,Roul. tsar, 1912, p.79. − [Les os désignent la charpente du corps] ♦ Casser* (rompre) les os de qqn. ♦ Risquer ses os. Risquer sa vie. La grille était presque infranchissable et on risquait ses os pour l'escalader, ce qui n'empêcha pas quelques-unes d'entre nous d'y pénétrer par surprise deux ou trois fois (Sand,Hist. vie, t.3, 1855, p.88).Après avoir, en sa vie, sauvé de la mort une douzaine de camarades, risquant ses os dans le grisou et dans les éboulements, il cédait à des choses qu'il n'aurait pu dire (Zola,Germinal, 1885, p.1447). ♦ Se rompre les os. Se tuer. Ceux qui ont un sang plus vif se jettent dans la chasse, la guerre ou les voyages périlleux. D'autres roulent en auto et attendent impatiemment l'occasion de se rompre les os en aéroplane (Alain,Propos, 1909, p.49). ♦ Laisser ses os quelque part ou dans une action. Mourir quelque part ou en accomplissant quelque chose. Pour fricasser ta potbouille, faudra que tu en sues de l'ouvrage! et avec ça que tu es forte! tu y laisserais tes os à ce métier-là! (Huysmans,Soeurs Vatard, 1879, p.296). − [Signifiant la moelle et par conséquent la partie essentielle du corps, le noyau de l'être] ♦ Jusqu'aux os, jusque dans les os (var. jusqu'à la moelle des os, jusqu'aux moelles des os, jusque dans la moelle des os). Au plus profond de soi; complètement. Avoir froid jusque dans les os; être glacé, percé jusqu'aux os. N'ayant plus d'univers, plus de chambre, plus de corps que menacé par les ennemis qui m'entouraient, qu'envahi jusque dans les os par la fièvre, j'étais seul, j'avais envie de mourir (Proust,J. filles en fleurs, 1918, p.667).Elle frissonna, claqua des dents, s'aperçut qu'elle était trempée jusqu'aux os. Sa robe collait à ses jambes, à ses cuisses, et à chaque mouvement des épaules un filet glacé coulait le long de ses reins (Bernanos,Mauv. rêve, 1948, p.1016).V. imbibé ex. de Courier. ♦ Jusqu'à l'os. Complètement. Le peuple des pauvres (...) est un peuple errant parmi les nations, à la recherche de ses espérances charnelles, un peuple déçu, déçu jusqu'à l'os (Bernanos,Journal curé camp., 1936, p.1074).Ce n'était pas facile de l'aider; il ne levait pas une phalange pour s'aider lui-même, et il était usé jusqu'à l'os. Il mourut à quarante-six ans de misère physiologique (Beauvoir,Mém. j. fille, 1958, p.347). ♦ Dans les os. Au plus profond de. L'antique crédulité passée dans les os de leur race, les secouait d'un frisson (Zola,Terre, 1887, p.445). b) Toujours au plur. [En parlant d'un cadavre] Jurer par ou sur les os de ses ancêtres. Le malheureux! on va l'enterrer à Évreux! c'est cruel, pour des os aussi parisiens que les siens, d'attendre en province le jugement dernier (Goncourt,Journal, 1874, p.982): 6. ... l'archevêque de Paris, M. de Harlai, si décrié pour ses moeurs, le même qui persécutera Port-Royal, avait fait le rigide pour l'enterrement du comédien, et (...) les os de Molière, pour tout dire, avaient été en peine, comme ceux d'Arnauld le seront tout à l'heure, de trouver une fosse où reposer.
Sainte-Beuve,Port-Royal, t.3, 1848, p.242. C. − P. anal. 1. Os de seiche. Lamelle calcaire, provenant du corps de la seiche, que l'on place dans la cage des oiseaux afin de leur permettre de s'y aiguiser le bec et de trouver la chaux nécessaire à leur alimentation. C'est leur coquille interne que l'on donne aux oiseaux pour aiguiser leur bec, sous le nom d'os de seiche (Coupin,Animaux de nos pays, 1909, p.429). − P. métaph. V. aiguiser ex. 10. 2. Noyau d'un fruit. Jeannie a bien reçu vos dattes. C'est moi qui les mange. J'ai un immense faible pour ce fruit poisseux dont le sucre à demi liquide et presque charnu est pénétré d'une soie particulière autour d'un os prédestiné aux bouches (Valéry,Corresp.[avec Gide], 1903, p.402). D. − Arg., pop. 1. Chose sans valeur. On ne lui a pas choisi un «os» pour l'occasion. On lui a «offert» Rusticali (Match, 12 févr. 1935, p.7 ds Grubb Sports, 1937, p.52). ♦ Refiler un os. «Vendre une chose ou un objet n'ayant aucune valeur» (Sandry-Carr. 1963, p.161). 2. Argent. Et on va boire un coup ensemble. Justement, j'ai de l'os (Méténier,Lutte pour amour, 1891, p.84). − Ça vaut l'os. «Ça vaut la peine» (Sandry-Carr. 1963). ,,Ce n'est pas banal, il faut se le payer`` (Esn. 1965). 3. [Dans des loc.] Difficulté imprévue. Tomber sur un os; il y a un os! Rencontrer une difficulté imprévue. Dans ce casse qu'était prétenduement du mille-feuilles, on tombait sur un os d'entrée. Le gardien (...) nous flinguait à tout vu (Simonin,Pt Simonin ill., 1957, p.208). Rem. À noter la loc. d'orig. inc. tourner en os de boudin*. 4. Vulg. Os à moelle a) Nez. Faire juter l'os à moelle. Se moucher dans ses doigts (d'apr. France 1907). b) Membre viril. Faire juter l'os à moelle. Se masturber (d'apr. France 1907). 5. Vulg. [Dans des loc.] Anus. ♦ L'avoir dans l'os. Éprouver une vive déception. J'ouvris, ma porte, le coup de téléphone, que j'espérais, cessa son carillon. Je l'avais dans l'os (Simonin,Cave se rebiffe, 1954, p.146). 6. Autres loc. Cavaler, courir, taper sur l'os de qqn. Synon. courir sur le haricot*.Les embusqués «commencent à m'taper sur l'os» (Barbusse,Feu, [1916] ds Esn. Poilu1919, p.136).À la gare! Tu commences à m'cavaler sur l'os avec ton air d'avoir toujours raison (Esn.Poilu1919, p.377). REM. Ossi-, élém. formanttiré du lat. os, ossis, entrant dans la constr. de termes sav.; le 2eélém. est tiré du lat. V. ossifier, ossification et aussi:a) Ossifère, adj.,paléont. Qui porte des os; qui en renferme. ,,Caverne ossifère. Celle dans laquelle on trouve des os fossiles, humains ou autres`` (Littré-Robin1865).Un limon rouge des cavernes, avec éclats anguleux de silex, souvent avec ossements de renne, parfois assez abondants pour transformer le dépôt en une brèche ossifère (Lapparent,Abr. géol., 1886, p.388).Les couches ossifères des cavernes sont de date plus récente (Déchelette,Manuel archéol. préhist. celt. et gallo-rom., t.1, 1914, p.96). b) Ossifluent, -ente, adj.,pathol. [En parlant d'un abcès] ,,Qui provoque une fonte osseuse`` (Man.-Man. Méd. 1980). L'examen décèle une douleur à la pression des apophyses épineuses des vertèbres malades et dans quelques cas des abcès ossifluents, qui guérissent en quelques mois, même lorsqu'ils sont gros, après ponction ou incision (Ravault, Vignon,Rhumatol., 1956, p.525). c) Ossiforme, adj.,anat. ,,Qui a la forme ou la structure de l'os`` (Méd. Biol. t.3 1972). d) Empr. au lat., v. ossifrage et aussi Ossicule, subst. Ossicule.
α) Subst. masc. ,,Petit noyau des fruits`` (Littré-Robin 1855).
β) Subst. fém., entomol. ,,Petite pièce chitineuse placée dans l'articulation de l'aile avec le thorax`` (Séguy 1967). Prononc. et Orth.: [ɔs], plur. [o]. xviiies. [o] au sing. comme au plur.; xixes. restitution de l's essentiellement au sing.; d'abord [o:s] puis selon la 1reloi de position [ɔs]; (v. G. Straka ds Trav. Ling. Litt. Strasbourg t.19 no1 1981, p.241) Fér. 1768, Fér. Crit. t.3 1788, Land. 1834, Gattel 1841 [o:s]; Besch. 1845: ,,pron. ô à la fin de la phrase et devant une consonne; oss devant une voyelle ou un h muet``; Littré [ô] mais ,,plusieurs font sentir l's au singulier comme au pluriel``; DG: [ɔs]; Passy 1914 [ɔs] ou [o:s]; à partir de Barbeau-Rodhe 1930 (Pt Rob., Warn. 1968, Lar. Lang. fr.) [ɔs]. Au plur. gén. [o] mais l's gagne également du terrain: v. Littré (rem. supra), Rob.: ,,ô au plur.; parfois des oss' ou des ôss' dans la langue fam.``; notamment dans la lang. des bouchers (Mart. Comment prononce 1913, p.102). Selon ce dernier: un paquet d'os [o:s], mais selon Pt Rob.: un paquet d'os, un sac d'os, en chair et en os [ɔs]. Pour les dér. Mart. Comment prononce 1913, p.109: ,,même sans accent circonflexe, l'o reste ordinairement fermé et long dans ossements ou désosser (...) mais non dans osseux, ossifier, où les deux s se prononcent le plus souvent, et oss(e)let, où l'e est suivi de sl, pour l'oreille``. Pt Rob. tous avec [ɔ]. V. chaque dér. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. A. 1. Ca 1100 «partie dure et solide qui forme le squelette» (Roland, éd. J. Bédier, 1200); 2. 1176 «os d'animal travaillé» (Chrétien de Troyes, Cligès, 4031 ds T.-L.); 2emoitié xiiies. os dou cuer «os de coeur de cerf: cartilages ossifiés du coeur du cerf très employés en médecine» (Chace dou cerf, éd. G. Tilander, 393); 3. 1188 Il n'avoit que la pel et l'os «il était maigre» (Florimont, 1760 ds T.-L.); 1668 n'avoir que les os et la peau (La Fontaine, Le Loup et le chien ds Fables, L. I, V); id. n'avoir que la peau sur les os (Racine, Les Plaideurs, I, 4); 4. 1606 rompre les os (Nicot); 5. 1640 il ne fera jamais vieux os (Oudin Ital.-Fr.); 1690 ne pas faire de vieux os (Mmede Sévigné, Lettres, éd. M. Monmerqué, 9, 545); 1823 faire de vieux os (Boiste); 1690 ses vieux os «pour désigner une personne âgée» (Mmede Sévigné, op. cit., 400); 1676 fig. ne pas faire vieux os quelque part «ne pas demeurer longtemps au même endroit» (Id., ibid., 5, 64); 6. 1640 ronger qqn jusqu'aux os «épuiser, ruiner» (Oudin, loc. cit.); 7. 1609 mouillé jusqu'à l'os (Régnier, Satires, XI, p.53); 1878 (avoir froid) jusqu'à la moelle des os (Ac.); 8. 1680 donner un os à ronger à qqn (Mmede Sévigné, op. cit., 6, 173); 1868 jeter un os à qqn (Littré); 9. 1851 avoir de l'os «de l'argent» (ds Esn.); 1895 ça vaut l'os (ibid.); 1914 tomber sur un os (ibid.); 1948 l'avoir dans l'os (ibid.); 10 ca 1200 subst. masc. plur. «restes d'un être vivant après sa mort» (Dialogues Grégoire, 49, 8 ds T.-L.). B. 1616 os de seiche (Crespin). Du lat. ossum, var. pop. du lat. os, ossis «os, ossement; fond de l'être humain». Fréq. abs. littér.: 4350. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 12209, b) 4247; xxes.: a) 4580, b) 3050. DÉR. 1. Osséine, subst. fém.,chim. organique. Protéine de consistance dure constituant la substance fondamentale de l'os adulte, représentant environ un tiers du poids de l'os (d'apr. Man.-Man. Méd. 1980). L'osséine, essentiellement constituée par du collagène (...) donnant de la gélatine par hydrolyse (coction ou chauffage en milieu acide) (Policard,Histol. physiol., 1922, p.236).− [ɔsein]. Littré, Barbeau-Rodhe 1930: [-ss-]. − 1reattest. 1865 (Littré-Robin); de os1, suff. -(e)ine*. 2. Osseret, subst. masc.,,Espèce de couperet, dont les bouchers se servent pour trancher, sur le billot, les parties osseuses de la viande`` (Havard 1889). − [ɔsʀ
ε]. − 1reattest. 1752 (Trév.); de os1, suff. -eret* d'apr. couperet*. BBG. −Sculpt. 1978, p.609. |