| * Dans l'article "MYCODERME,, subst. masc." MYCODERME, subst. masc. Levure se développant à la surface des boissons fermentées et des jus sucrés exposés à l'air. Le lait peut (...) renfermer (...) d'autres espèces de mycodermes (Pouriau, Laiterie, 1895, p.593).Prononc.: [mikodε
ʀm̥]. Étymol. et Hist. 1845-46 (Besch.). Formé de l'élém. myco-* et de derme*, ce champignon formant une espèce de peau à la surface du liquide en fermentation; cf. le lat. sc. mycoderma de même sens 1822 (Persoon, Mycologia Europaea, t.1, p.96). DÉR. Mycodermique, adj.Qui se rapporte aux mycodermes. Quant au choléra, l'académie de médecine de Paris en ignore tout à fait la nature et ne paraît pas connaître la théorie de Pettenkofer (le spore mycodermique d'origine indienne) (Amiel, Journal, 1866, p.138).− [mikodε
ʀmik]. − 1reattest. 1857 (L. Pasteur, Mém. sur la fermentation appelée lactique ds C. r. de l'Ac. des sc., t.45, p.915); de mycoderme, suff. -ique* ou formé des élém. myco-* et -dermique*. BBG. − Quem. DDL t.8 (s.v. mycodermique). |