| ![]() ![]() ![]() ![]() DÉLAYANT, ANTE, part. prés., adj. et subst. masc. I.− Part. prés. de délayer*. II.− Adj. et subst. masc., MÉD. (Remède) auquel on attribue la propriété d'augmenter la fluidité du sang et des humeurs. Boisson délayante. De simples délayans, tels qu'une limonade très-légère, ou une ample boisson d'eau de veau (Geoffroy, Méd. prat.,1800, p. 487). − P. ext. (comme subst. masc. seulement), TECHNOL. Préparation liquide qui délaye une substance, un corps solides. On s'est longtemps servi de ces délayants [l'eau gommée et l'eau sucrée] pour la peinture sur porcelaine tendre (Al. Brongniart, Arts céram.,1844, p. 614). Prononc. et Orth. Dernière transcr. ds DG : dé-lè-yan, fém. -yant'. Fér. Crit. t. 1 1787 et Land. 1834 transcrivent [e] fermé à la 2esyll. (cf. délayer). Admis ds Ac. 1762 et 1798 en tant que subst. masc.; ds Ac. 1932 en tant qu'adj. Fréq. abs. littér. : 12. |