| DOGRE, subst. masc. MAR., anc. Petit bâtiment ponté, à voiles, qui servait à la pêche du hareng et du maquereau dans la Manche et en mer du Nord : Il aimait tant le commandement qu'il eût préféré (...) l'autorité sur un dogre, à la seconde place sur un trois-ponts.
La Varende, Jean Bart pour de vrai,1957, p. 217. Prononc. et Orth. : [dɔgʀ
̥]. Demi-longueur de la voyelle ds Passy 1914. Ds Ac. dep. 1835. Étymol. et Hist. 1678 (Seignelay à Panetié ds Jal1). Empr. au néerl.dogger (dep. 1599, Kiliaen ds De Vries Nederl.), de même sens. Fréq. abs. littér. : 1. Bbg. Kemna 1901, pp. 158-159. − Sain. Sources t. 2 1972 [1925], p. 156. |