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APOGRAPHE, subst. masc.
Peu usité. Copie d'un écrit original. Anton. autographe.
Rem. Attesté ds la plupart des dict. gén. du xixes. ainsi que ds Quillet 1965.
P. méton., TECHNOL. Instrument utilisé pour copier les dessins.
Rem. 1. Attesté ds la plupart des dict. gén. du xixes. 2. Dans l'emploi technol., DG donne le mot comme un néologisme.
PRONONC. − Dernière transcription ds DG : à-pò-gràf'.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. Subst. a) 1670 « copie d'un écrit original » (Chapelain, Lett. II, 679 ds DG : [Les Suppléments de Tite-Live de Freinsheim] entiers et parfaits [...] sans que rien leur manque ni de l'autographe ni de l'apographe); d'où 1836 (Raymond, Suppl. au Dict. de l'Ac. fr. : Apographe. Sorte de nouvel instrument dont on se sert pour copier les dessins); b) 1838 Antiq. gr. (Ac. Compl. 1842) − 1928 (Lar. 20e); 2. adj. 1743 « qui est copié d'après un écrit original » (Journal des Sçav., 1743, in-12, p. 354 ds Trév. 1752 : Il est question en général des livres autographes et apographes de la Loi et des Prophétes, et de leur histoire). Empr. au gr. latinisé apographon au sens de « copie d'un tableau » dep. Pline, Nat., 35, 125 ds TLL s.v., 243, 66; transcription du gr. α ̓ π ο ́ γ ρ α φ ο ς « transcrit », Denys d'Halicarnasse (ca 30 av. J.-C.), Isée, 11 ds Bailly, d'où τ ο ̀ α ̓ π ο ́ γ ρ α φ ο ν « la copie », Cicéron, Att., 12, 52, 3, ibid.
BBG. − Gramm. t. 1 1789. − Spr. 1967. − Springh. 1962.