Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme

options d'affichagecatégorie :
GAIETÉ n. f.
XIe siècle. Dérivé de gai.
1. Disposition à être d'humeur riante, enjouée, vive et joyeuse. Avoir de la gaieté. La gaieté d'un enfant, d'un animal. Montrer de la gaieté. Elle a perdu, retrouvé sa gaieté. • Par méton. (le plus souvent au pluriel). Action, propos, manière d'être qui traduit une telle disposition. Avoir des gaietés d'enfant. ÉQUIT. Les gaietés d'un cheval, les gambades, les mouvements vifs par lesquels il manifeste un caractère gai, fringant.
2. Joyeuse animation, entrain, bonne humeur. Il règne parmi eux une franche, une vive gaieté. Cette plaisanterie redoubla la gaieté de l'auditoire. Expr. Être en gaieté, être animé et de bonne humeur. Le vin, la bonne chère ont mis les convives en gaieté. Par ext. Un regard empli de gaieté. La gaieté de sa voix, de ses propos. • Loc. adv. De gaieté de cœur, spontanément, sans réticence. Il a accepté de gaieté de cœur. J'y ai renoncé, mais ce n'est pas de gaieté de cœur.
3. Par méton. Caractère de ce qui dispose à la bonne humeur, suscite l'entrain, la joie. La gaieté d'un décor. Une fête d'une grande gaieté. Par antiphrase. Ce n'était pas d'une gaieté folle. • Au pluriel. Ce qui peut prêter à rire, à se réjouir. S'emploie le plus souvent par antiphrase et pour énoncer une généralité. Ce sont les gaietés des voyages, les gaietés de l'administration. • (On trouve aussi Gaîté.)