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I. CAPE n. f.
XVe siècle, cappe, « manteau à capuchon ». Emprunté du provençal capa, issu, comme chape, du bas latin cappa, « sorte de capuchon ».
1. Vêtement de dessus, ample et sans manches, plus ou moins long, enveloppant le corps ou seulement les épaules. La cape d'un académicien. La cape d'un torero. Une cape de berger. Une cape en gros drap. Une cape de vison. Spécialt. Camérier secret de cape et d'épée, naguère, laïque appelé à faire partie de la suite du pape. LITTÉRATURE. CINÉMA. Roman, film de cape et d'épée, roman, film d'aventures dont les héros sont chevaleresques et batailleurs. • Expr. N'avoir que la cape et l'épée, être sans fortune. Rire sous cape, rire à la dérobée, éprouver une satisfaction maligne qu'on tente de dissimuler.
2. TAUROM. Grande pièce d'étoffe rose ou rouge dont se servent les toreros au cours des deux premiers tiers d'une corrida. Le maniement de la cape permet au matador de juger le taureau qu'il a en face de lui, tout en se mettant lui-même en valeur.
3. Vieilli. Coiffure de femme destinée à protéger de la pluie et du vent. Sortir en cape. Cape de taffetas, de toile cirée.
4. Feuille de tabac servant d'enveloppe au cigare (on dit aussi Robe). Une cape souple aux nervures très fines. Tabac de cape, tabac dont les feuilles présentent les qualités requises pour constituer la cape des cigares.