SONNEUR, -EUSE, subst.
Étymol. et Hist. A. 1. 1260, 15 nov. « celui qui sonne les cloches » (
Layettes du Trésor des chartes, t. 3, éd. J. de Laborde, Paris, 1875, p. 556a: As
souneurs de la banc cloche); 1835
boire comme un sonneur (
Ac.);
2. 1723 « ouvrier qui tire les cordes de la sonnette à enfoncer les pilotis » (
Savary).
B. 1491, 13 déc. « celui qui sonne d'un instrument de musique »
sonneurs de trompette; de tabourin; de fluste (
Arch. de Bretagne, t. 2, Nantes, 1884, p. 120).
C. 1780 « espèce de courlis » (
Buffon, Oiseaux, t. 5, p. 11 ds
Littré).
D. 1933 rugby (
L'Auto,
loc. cit.). Dér. de
sonner*; suff.
-eur2*.