SOCKET, subst.
Étymol. et Hist. 1. 1935 golf (
Tennis et golf,
ibid.); 1964 fém. (
Tennis et golf, déc., p. 83 ds
Becker 1970, p. 250);
2. 1922 (
supra B). Empr. à l'angl.
socket « tête de lance ou de pieu (qui rappelle la forme d'un soc) » (
xiiies. ds
NED) d'où « pièce comportant une partie creuse, généralement cylindrique permettant de la fixer ou d'y fixer quelque chose » (
xves.,
ibid.), en partic. « pièce du chandelier où l'on fixe une bougie » d'où le sens de « douille d'ampoule électrique » (
Webster's), ainsi que « embout où est fixé le manche d'un club de golf » (
ibid.) dont est dér. le verbe
to socket « frapper avec le talon de la canne » trad.
dérouter par l'
Office de la Langue Française du Québec et dont est tiré le subst.
socket trad.
coup dérouté (Cahiers de l'Office de la
Langue Française, n
o9, p. 24); l'anglo-norm.
soket (1252,
Matthieu Paris,
Chronica majora, éd. H. R. Luard, t. 5, p. 319) dér. de
soc*, est prob. à l'orig. de l'angl.
socket (
FEW t. 12, p. 381b).