| GRIFFONNER, verbe trans. Étymol. et Hist. 1. a) 1555 griffonné « ébauché, dessiné grossièrement, confusément » (Belon, Histoire de la nature des oyseaux, p. 82); b) 1610 « écrire quelque chose d'une manière confuse, peu lisible » (P. Coton, Institution catholique, t. 1, p. 429 ds R. Philol. fr. t. 43, p. 126); 2. 1643 « rédiger avec précipitation et négligence » (Scarron, Recueil de quelques vers burlesques, p. 41). Dér. de griffe1*; suff. -onner*. |