| GOINFRE, subst. masc. Étymol. et Hist. 1611 goinfre, gouinfre « joyeux compagnon, débauché » (Cotgr.); 1622 « libertin, gros mangeur » (Sonnet de Courval, Contre les Garde Dismes in Fleuret et Perceau, Les Satires fr. du xviiesiècle, I, 152 ds Quem. DDL t. 15). Orig. inc. (FEW t. 21, p. 461); sur une hyp. rattachant goinfre à Galafre, Golafre, noms de héros de chansons de geste ou de romans de chevalerie, cf. Sain. Sources t. 1, pp. 27-33. |