| FORFAITURE, subst. fém. Étymol. et Hist. 1. Ca 1130 « amende qui punit un délit » (Lois de Guillaume, éd. J. E. Matzke, p. 27, § 40); 2. a) 1283 forfeture dr. féod. « violation du serment de foi en hommage » (Ph. de Beaumanoir, Coutumes de Beauvaisis, éd. A. Salmon, § 531); b) 1690 forfaiture dr. « prévarication d'un magistrat » (Fur.). Dér. savant de forfaire*. |