CROQUEUR, EUSE, subst.
Étymol. et Hist. 1. 1552
crocqueurs de pies « bon buveur » (
Rabelais,
Quart-Livre, Prologue, éd. Ch. Marty-Laveaux, III, 186);
2. fig.
a) 1674
croqueur de nonne (
La Fontaine,
Contes, Lunettes, éd. H. Régnier, t. V, p. 534);
b) 1861
croqueur de dot « coureur de dot » (
Labiche,
Vivac. Cap. Tic, XIII, p. 475); 1952
croqueuse de diamants (
J. Carlier,
Les Mannequins ds
Combat, 19-20 janv., p. 2, col. 5). Dér. de
croquer*; 1 de
croquer la pie « boire beaucoup » (
ca 1450,
Mist. Viel Testament, éd. J. de Rothschild, 4817, v.
FEW t. 8, pp. 422-424 a); suff.
-eur2*,
-euse*.